One Piece, Next Generation

Carte d'Identité

Descriptions Physiques

En tant que Zoan, Lupus peut se présenter sous trois formes différentes.


Forme initiale: le loup noir:

Sous sa forme "naturelle", Lupus se présente comme un loup noir, de très gros gabarit.

Les yeux ambrés étant la seule note de couleur du corps massif de la bête, ce sont évidemment eux qui attirent d'abord le regard. Noyés dans l'océan de fourrure noire, ils accrochent le regard du vis-à-vis du loup, le tenant comme dans un étau glacé. Pourtant, la puissance de l'animal vient bien de son corps.
Les yeux ambrés sont incrustés dans un crâne large et profond d'une vingtaine de centimètres à chaque fois, surmonté de deux hautes oreilles triangulaires, très mobiles; en-dessous des yeux commencent le museau, allongé, mesurant une trentaine de centimètres de long: il se termine par une truffe plus sombre que le pelage, et encadrée de longues moustaches presque invisibles sur le pelage; la gueule elle-même, qui s'ouvre très rarement, est garnie de quarante-deux crocs d'albâtre, incrustés dans la chair rosée, entourés par la lippe aussi sombre que la truffe, et encadrant la longue langue rosée; les quatre canines, qui forment un portail d'entrée dans cette gueule, sont encore plus saillantes, longues et pointues que le reste des crocs, mesurant chacune huit centimètres de long. Le port de la tête est généralement bas, comme méfiant, mais redressé et fier, l'animal observe son environnement à presque un mètre vingt de hauteur.
La tête domine un long cou, très flexible, aux longs poils duveteux. Par-devant, ce cou se transforme en un large poitrail, de cinquante centimètres de large hors épaules, puissant et musclé, qui disparaît sous l'animal vers le ventre. Par-derrière, le cou termine sur le dos, placé à quelques quatre-vingts centimètres du sol, le poil plus rêche et court. Sur les côtés, le cou devient les épaules, puissantes, de l'animal.
Les quatre pattes sont elles aussi couvertes d'un poil court. Longues, puissantes, elles se terminent chacune par les quatre doigts et le "pouce", les quatre premiers étant terminés par les habituelles griffes aussi dures que de l'acier, le "pouce" par la petite griffe qui sert de crochet.
Ventre, flancs et croupe sont fort semblables: longs poils noirs, muscles adaptés à la course et au combat. La queue, pour terminer, longue de soixante-dix centimètres et touffue, reste souvent basse, bien que l'animal soit d'une calibre digne du meilleur des dominants d'une meute.

Globalement, l'animal est doté de mensurations exceptionnelles, parmi les plus extrêmes de cette race: un mètre vingt de hauteur au crâne, hors oreilles; quatre-vingts centimètres au garrot; deux mètres de long, de la gueule à la croupe, hors queue. Il mérite bien quelques cent kilogrammes, tout en muscles, os et tendons. La puissante mâchoire développe aisément les 200 kg/cm² de pression -suffisant pour briser n'importe quel os, ou même tordre une barre de fer...

Forme spéciale: l'hybride loup-garou:

Lupus utilise rarement cette forme, même en combat.

Globalement, il s'agit d'un loup aux membres et au museau allongés, dont les pattes se terminent par des mains humanoïdes, longues, avec de longues griffes en lieu et place des ongles. Sous cette forme, Lupus peut se tenir debout, les pattes postérieures légèrement pliées. Cette forme permet de conjuguer et multiplier les capacités de manipulation d'un humain avec la force brutale du loup; mais cette apparence "bâtarde" est aussi gênante, dans la mesure où sa force bien trop puissante peut causer des ravages involontaires à la moindre faute d'inattention: or, Lupus préférant la précision et l'efficacité à un déchaînement général, cette forme ne lui convient guère, le plus souvent...

Forme humaine: le grand homme:

Tout comme les humains Zoans sont capables de prendre une forme totalement animale, Lupus peut sans problème adopter une forme totalement humaine.

Sous forme humaine, Lupus garde comme seule trace de son apparence naturelle une carrure assez inhabituelle. Mesurant deux mètres vingt-cinq, pesant quelques cent dix kilos, faisant la fraîche quarantaine, le grand homme est clairement lui aussi une force de la nature. La peau blanche, au teint quasi-cadavérique, est en grande partie cachée par de longs vêtements noirs, plus rarement l'uniforme de la Marine.
Des cheveux assez courts, d'un noir corbeau, surmontent un visage aussi blafard que le reste de la peau. Les yeux, petits, enfoncés dans leurs orbites sous de larges et épais sourcils dominés eux-mêmes par un haut front, sont tout aussi ambrés que les yeux de la forme animale. Ils encadrent l'arrête d'un nez long et fin, aquilin, qui domine une barbe quasi-complète, bien coupée, aussi noire que les cheveux. Les lèvres, fines et ternes, restent le plus souvent figées en un rictus déplaisant, sorte de sourire sadique.
Les mains aux longs doigts fins et puissants sont généralement glissés dans une épaisse et large ceinture de cuir noir, à boucle d'acier. La tenue noire, que revêt le plus souvent Lupus, est souvent ample, légèrement flottante; seuls points immuables, la ceinture à la taille, un pantalon serrant qui peut disparaître sous d'autres vêtements, et de hautes et épaisses bottes de cuir noir.

Description Mentale

Contrairement aux croyances populaires, les loups sont sans doute les animaux les plus proches de l'homme, psychologiquement parlant. Vivant en meutes structurées, ce sont des animaux hautement sociaux, aux relations très complexes, plaçant l'altruisme comme valeur suprême; car les loups ne réfléchissent non pas à l'intérêt individuel, mais à l'intérêt collectif...
Aussi, deux entités mentales cohabitent en Lupus. La part naturelle est due à son psychisme de loup; la part acquise, elle, est due à son contact avec les humains, et à son passage dans leur monde...

La part naturelle de la psyché de Lupus est donc gouvernée par un grand principe: l'altruisme. Altruisme naturel, ordre inné fixant le groupe au-dessus de l'individu, valeur pouvant mener au "sacrifice suprême".
Mais c'est la part "acquise" qu'il faut voir plus avant, car qui peut expliquer l'inné ? Cette part acquise du mental a elle-même deux facettes.
D'abord, Lupus demeure un loup, et à ce titre, même s'il vit parmi eux, ne peut penser tout à fait comme un humain. Placé hors d'une meute aux mêmes mœurs que lui, il a évidemment fait siens la besogne acharnée et la solitude: l'on ne peut compter tout à fait sur les humains pour bien exécuter le travail, et mieux vaut être tranquille, dans son coin, pour être le moins visible possible: comme le prouve l'histoire entre les humains et les hommes-poissons (par exemple), les premiers ont la fâcheuse tendance à craindre voire haïr ce qui diffère d'eux. Or, en quoi un loup humanoïde ne rentrerait pas dans la classification humaine du "différent", de "l'inconnu", du "monstrueux" ? Méfiance, donc, par la solitude.
Ensuite, le loup-homme a eut l'occasion d'observer les humains en étant parmi eux. Et si son sentiment altruiste l'empêche de les abandonner à leur sort, sa méfiance animale s'est encore renforcée en voyant leurs erreurs, et surtout leurs horreurs: l'animal se tient en fait en alerte à tout instant, persuadé qu'une trahison humaine peut arriver à tout instant, et que la nature mauvaise des humains peut vite faire surface, même parmi ses alliés du moment. Lupus s'est donc doté d'une sorte d'enveloppe paranoïaque, derrière son physique carnassier et ironique...

Biographie

L'animal qui deviendra Officier de la Marine sous le nom de "Ambre Lupus" naît il y a presque un demi-siècle sur une île automnale de Grand Line. Peuplée de quelques communautés humaines, vaste, l'île est accueillante pour les loups qui y vivent depuis des temps immémoriaux. La nourriture, principalement composée de cervidés, est abondante, et la population lupine se régule naturellement.
Pendant ses deux premières années de vie, Lupus sera un loup discipliné envers sa meute de naissance, formidable chasseur, distingué par sa robe d'un noir corbeau au milieu d'une majorité de loups gris ou blancs. Sa carrure exceptionnelle fait de lui l’élément de force de la meute; en première ligne dans la plupart des situations, son intelligence va aussi rapidement s'aiguiser, puisque c'est lui qui aura le plus d'occasions d'apprendre par l'expérimentation...
Après deux ans de vie, cependant, l'immense mâle quitte sa meute: chez cette race, les éléments les plus puissants défient leurs dominants ou quittent la meute pour éviter des conflits inutiles. C'est cette seconde voie que choisira l'énorme bête, qui n'a guère besoin de seulement grogner pour que les siens le laisse quitter la meute.
Bien vite, il saura fondre sa propre meute, ses gênes alimentant une troupe physiquement plus développée que la moyenne des loups. Pendant cinq ans, il dominera sa meute, donnant naissance à plusieurs portées avec une même compagne...




C'est peu après qu'ait débutée sa septième année de vie que tout va changer pour le grand loup. Depuis quelques temps déjà, des meutes disparaissaient, des individus esseulés et perdus passaient sur le territoire de Lupus pour fuir vers des régions très désertées des humains. Mais Lupus et sa meute n'étaient pas inquiets, vivants dans une région montagneuse, loin des "deux-pattes". Fatale erreur que de ne pas se méfier.
En moins d'une semaine, l'horreur se déchaîna sur le clan de puissants loups. A raison d'une portée d'en moyenne six petits, la meute comptait alors une vingtaine d'adultes presque aussi formidables que le dominant, cinq jeunes et sept louveteaux très jeunes...des loups aussi grands étaient une denrée de choix pour les humains de l'île, qui venaient de réaliser quelques temps plus tôt à quel point le commerce de fourrures rares comme celles des loups était juteux.
Si la dizaine de plus jeunes fut capturée vive, la quasi-totalité des adultes due être abattue par les trappeurs, qui étaient divisés en trois bandes d'une cinquantaine de personnes chacune. Leurs pertes furent d'ailleurs inhabituelles, tant cette meute était puissante physiquement: pour chaque individu de la meute, il y eut presque deux humains égorgés...le travail avait parut bien coûteux, au final, pour les deux-pattes...

Mais Lupus était toujours vivant, comme trois adultes de son sang et un autre qui s'était greffé à la troupe deux ans auparavant. L'énorme bête laissa les siens partir, comme les loups qu'ils avaient vu traverser leur territoire auparavant, vers des rivages plus cachés et moins sombres. Mais elle-même savait que douze jeunes étaient retenus par les humains...ce n'était pas une question de descendance, mais de survie, d'instinct.
Au contraire de ceux de sa race, il lança donc sa course sur les traces des trappeurs, croisant les tombes de leurs morts, les traces de leurs camps...les cadavres écorchés de ceux de sa meute et d'autres meutes...
Le grand loup apprit lors de cette poursuite qui dura cinq jours continus une chose inconnue des siens, en temps normal: la haine...
Arrivé dans le petit port où l'avait mené les traces des deux-pattes, il s'arrêta quelques heures, observant les maisons, les quais, les hangars...le grand bateau où étaient embarquées les fourrures...
Le massacre commença de nuit. Sur son chemin, guidé par les odeurs puis les piaulements des louveteaux, plus de trente deux-pattes furent proprement égorgés, ou même noyés de force dans les eaux salées du port...Les douze jeunes fut libérés, conduits à la sortie de la ville, et les cinq plus âgés menèrent les plus jeunes vers un endroit où le grand mâle ne les reverrait jamais...

"L'opération" était terminée, objectivement. Mais le loup avait, nous l'avons dit, eu le temps d'apprendre la haine. Et la haine engendre la vengeance violente, aveugle, sanglante.
Lupus ne tint pas les comptes des corps qui passèrent sous ses crocs. Et ne s'enquit jamais de ce nombre. En tous les cas, quand il grimpa à bord du navire pour s'attaquer aux marchands responsables des massacres, son poil noir disparaissait déjà entièrement sous le rouge sombre du sang des autochtones.
Cependant, un accroc se glissa dans les plans de l'animal. Le capitaine du navire, premier humain qu'il alla visiter dans son sommeil, se réveilla à temps, et poussa le bras vers le loup qui se penchait sur lui pour écarter sa gueule. Ce faisant, il coinça entre les crocs le fruit qu'il tenait entre ses mains, dans son sommeil, comme un avare. A moitié étouffé, l'omnivore se força à avaler le fruit, qui avait au demeurant un goût exécrable.
Sans rien comprendre, il se sentit s'élever, tenant debout sur ses pattes postérieures, et sentit un courant froid parcourir sa peau, qui était ordinairement isolée par l'épaisse fourrure. Le capitaine, la main en sang, le fixa, bouche bée. Lupus tourna les yeux vers son corps, et découvrit un corps humain, nu, à la peau blafarde couverte de sang sombre. Mais l'instinct et la haine était les plus fort: le capitaine n'eut pas le temps de se remettre de sa surprise, que deux énormes mains se refermaient sur son cou. Lupus avait déjà vu de loin des bagarres entre humains...un loup apprend vite...



Deux longs mois, Lupus resta loin de tout et de tous. A maîtriser ce qu'il avait bien deviné comme étant une nouvelle capacité, personnelle. A maîtriser le déchirement qui s'était produit en lui.
Un pouvoir, deux natures différentes. Deux natures, dont l'une était celle d'être qu'il s'était mis si peu de temps auparavant à haïr... La notion de suicide personnel n'existe pas, chez l'animal. Le suicide animal est strictement utilitaire, et le résultat d'un calcul au profit de l'espèce. Lupus ne pouvait donc seulement songer à se tuer...
Au demeurant, un autre point pose problème. Les siens ne l'accepteront pas ainsi, même s'il n'y avait pas eu les pertes occasionnées par les trappeurs. Et dans le même temps, pas question de leur cacher sa nouvelle nature: le mensonge est aussi une inconnue, pour le nouveau Zoan...
Pas de suicide, pas de mensonge, plus de meute. Et le loup est un animal profondément social, qui a besoin des autres même s'il ne l'exprime pas. Une seule solution demeure, pour résoudre l'équation. Une solution haïssable, mais le seul recours qu'il reste à Lupus...

Il aura la sagesse de ne pas retourner au port, pour intégrer les humains. Même s'il n'y reste plus grand monde, peut-être un humain l'a vu agir durant la tuerie et lui aura échappé.
Il va donc se rendre dans la grande ville la plus proche de sa position, située à une cinquantaine de kilomètres du port. Une autre ville portuaire, mais bien plus importante. Néanmoins, c'est sans aucune identité, illettré, parlant avec difficulté parfois, et nu, qu'il arrive en ville. Il est rapidement arrêté par les marins de la citadelle locale, vêtu d'un simple uniforme de détenu, et enfermé en cellule.
Le loup-humain va toutefois réussir à confier son histoire au docteur venu l'examiner...partiellement du moins, puisque s'il ne sait pas mentir, il sait quand même omettre des passages. Deux heures plus tard, le commandant de la base lui fait signer d'un "x" au bas d'un papier, et lui fait revêtir un uniforme de la Marine. Le motif ? Lupus le cherche encore. Le dossier constitué sur le marin "Ambre LUPUS" ce jour-là l'y aiderait peut-être, mais il n'y aura normalement jamais accès. C'est le médecin qui a choisit son prénom et son nom: "Ambre" pour ses yeux si étrange même sous forme humaine; "Lupus" pour sa race originelle. Ordre lui est donné de ne pas parler de sa nature réelle devant les autres soldats ou les civils.


A ce moment, Lupus a sept ans, mais sous forme humaine il a l'apparence d'un jeune homme de vingt-cinq à trente ans. Étrangement, le fruit du démon de l'Humain, qu'il a mangé par erreur sur ce navire marchand, semble affecter non seulement son physique, mais aussi son âge physiologique. Sa longévité, même au regard humain, est fortement étendue: il lui faudra quarante ans pour gagner une dizaine d'années d'apparence humaine...
Force de la nature, doté en grande partie de ses capacités lupines même sous forme humaine, il s'avère vite un excellent marin, d'autant qu'il est obéissant et respectueux de la discipline, effacé. Le plus souvent, il s'isole pour apprendre à lire et écrire, se documentant par la suite autant qu'il le peut sur les humains; ou encore, simplement, pour s'entraîner en solitaire.
Au contact des marins, Lupus va comprendre rapidement que tous les humains ne sont pas du niveau des trappeurs qui décimèrent sa race. Ses tensions internes et sa haine de l'humain s'apaisent, et bien vite il manifeste son goût social pour la communauté. Son altruisme naturel reparaît: au seul service de la Marine, sa nouvelle "meute", il se montre rapidement efficace en toute matière, et monte rapidement en grade.

Nommé finalement, trois ans seulement après son arrivée à la base, Lieutenant, il est envoyé au Quartier Général de la Marine suivre une formation spéciale. Il y retrouve des humains ayant mangé des fruits de Zoans, et peut ainsi travailler à loisir sa double nature et sa forme hybride. Spécialisé dans les combats au corps-à-corps, à mains nues ou avec armes blanches, il est bien vite envoyé dans des missions de traque et de chasse aux pirates, missions pour lesquelles sa nature de super-prédateur le prédispose. Poursuites et combats acharnés en mer, rudes entraînements et apprentissages continus au Quartier Général: le loup-humain forme son corps et son esprit, d'autant que les Zoans sont réputés comme étant les détenteurs de pouvoirs de fruits du démon qui peuvent développer et augmenter en continu leur force physique.
Rapidement, Lupus est détaché en solo sur un navire léger et très rapide, avec un équipage réduit. Ses missions de captures ne cessent de noircir positivement son dossier, et les cibles désignées sont chaque fois plus puissantes...

A ses trente ans, finalement, Lupus devient Colonel du QG, à l'issu d'une prise à 225 millions de berrys. Il est alors confié au Vice-Amiral vieillissant Nagata F. Fuoru, chargé de lui enseigner des techniques de niveau supérieur. Le QG vise alors à celui qui est désormais surnommé "le Chasseur Noir" par la Marine et le reste du monde, et dont le pouvoir est connu publiquement, puisse se montrer efficace contre des Logias. Nagata va donc enseigner à son nouvel élève les Haki. Si le loup ne fait nullement montre du Haki des Rois, il se révèle très doué pour le Haki de l'Armement, combinant sans peine celui-ci et sa force brute ou ses techniques reposant principalement sur le combat avec deux "espadons". Le Haki de l'Observation est plus difficile à maîtriser, surtout parce que Lupus se reposait jusque-là sur son instinct animal pour prévenir et contrer l'adversaire: de fait, il ne le maîtrise toujours pas.
Néanmoins, après cinq années de dur travail, essaimées de missions ponctuelles, le résultat est là: une machine de combat spécialisée dans le corps-à-corps, capable d'affronter des Logias, entraînée depuis des années à la traque aux pirates, dotées d'un instinct bestial extrêmement précis et renforcé par la maîtrise d'un haki "basique"...
Les dix années suivantes vont voir la mise en œuvre de cet être, et la réputation du "Chasseur Noir" continuera à progresser...