La Tanière de Lupus
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La Tanière de Lupus

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 Theoc Area: Siriag Kalatru

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Lupus
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MessageSujet: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeVen 2 Déc - 17:46

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MessageSujet: Re: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeVen 2 Déc - 17:47

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MessageSujet: Re: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeLun 5 Déc - 17:59

FICHE PRÉSENTATION

©Theoc Area
♦ KALATRU Siriag ♦
♦ Le Penseur Ennuyé ♦


Theoc Area: Siriag Kalatru 111113045320666255


CARTE D’IDENTITÉ
_____________________________________________________________
Nom: Kalatru
Prénom: Siriag
Surnom: le Penseur Ennuyé
Faction demandée: Imagias Angélique
Stade d'évolution demandé: Trône
Âge: Environ 9.000 ans

Origine: Rêve du Grand Architecte matérialisé.
Aime: La tranquillité, la méditation, la réflexion, la concentration, le glandage, le sommeil, le silence, les coins isolés du Paradis, les sommets des montagnes du monde réel, les bonnes victuailles, les bibliothèques, les loups, la nuit, les forêts sombres.
Déteste: Le bruit, l’agitation, les autres êtres -y compris les Imagias-, le temps qui met tellement de…temps…à s’écouler, son boulot d’Imagias Angélique « trop-cool-de-la-mort-qui-tue-qui-rend-joyeux-lol-mdr-xd-ptdr » et tout ce qu’il comporte.

Arts occultes: Art Energétique et Art Occulte Pur.
Arme: Une canne-épée, la lame étant dissimulée dans le manche, dont la poignée est décorée par, en relief très léger, des vagues légèrement plus sombres que le bois de la canne.
Autre: actuellement, Imagias en charge de la protection particulière du dieu AŦild.

Thème musical:



♦ VOTRE CORPS MAGIQUE ♦



Siriag ne ressemble pas beaucoup à un humain, pas même à un humanoïde. Après tout, c’est un Imagias : pourquoi devrait-il être semblable à une créature que l’on définit, justement, par un autre terme ? Si une créature devait le plus l’évoquer, ce serait sans doute le Sphinx ou l’hippogriffe ; mais ce ne serait pas encore correct. C’est en fait un assemblage plus hétérogène encore d’un large bestiaire.

Car le corps de Siriag, c’est un corps avec quatre membres et deux ailes, démesuré.
Les « pattes » postérieures sont semblables à celles d’un lion, avec cinq griffes impressionnantes à chaque patte et qui, elles, évoquent davantage celles d’un dinosaure. Les membres postérieurs eux-mêmes sont longs, assez fins, les muscles se dessinant parfaitement sous une peau couverte d’un duvet gris. La croupe, recouverte du même duvet, se termine sur une longue queue, semblable à celle d’un loup ou d’un chien, avec un poil épais et long, plus sombre que le duvet de la croupe et des pattes postérieures. Le tronc évoque celui d’un cheval, avec un poil qui s’allonge à nouveau, devenant noir avec des reflets bleu corbeau. Les pattes antérieures, elles, ressemblent aux pattes avant d’un canidé, avec un poil aussi épais que sur le tronc, mais gris-brun ; toutefois, elles se terminent par des pattes qui peuvent changer à volonté : ce sont soit les mêmes pattes de lion à griffes que les pattes postérieures, soit des mains humaines, grandes et fines, presque délicates d’apparence, avec de longs ongles sales et épais, et une peau couleur bleu pâle. Au niveau du garrot sortent, de chaque côté du corps, deux grandes ailes blanches décharnées : évoquant celles d’une chauve-souris ou d’un dragon, avec des os épais sur lesquels se tend une fine peau pâle, elles évoquent aussi, de par leur nombre, les quatre ailes d’un papillon. Ces ailes battent en alternance, par paires, avec puissance ; longues, larges, elles augmentent l’impression de puissance de Siriag une fois déployées. L’encolure, elle aussi semblable à celle d’un canidé, est recouvert d’un poil encore plus épais que le tronc, mais conservant le même noir aux reflets corbeaux.
Elle se termine sur une tête peut-être plus harmonieuse que le reste du corps : comme s’il ne tenait pas assez du canidé, Siriag a une tête de loup. Seulement, cette tête de loup est couverte d’un poil blanc veiné de bleu clair, des courbes courant absolument partout, formant des spirales et un dessin labyrinthique ; étrangement, ces deux couleurs et ces dessins rappellent la peau des teremundos de base, noire striée de rouge… Mais ce sont les yeux qui, dans cette face, accrochent le plus le regard, une fois que celui-ci a cessé de détailler le corps : sans pupille, sans blanc, ce sont deux yeux en amande, où seules dansent des flammes rouges et or, dans une danse éternelle d’un regard qui semble vide et ne se fixer sur rien ; lente, la danse des lueurs dans ces yeux semble calme et paisible, silencieuse...
Enfin, cette forme bestiale est, nous l’avons dit, démesurée : la queue mesure trois mètres de long, le corps en lui-même, de la croupe au poitrail quatre mètres, avec un poitrail large d’un mètre et demi, le cou en fait deux de long, et la tête, de l’arrière du crâne au museau qui est le seul point noir du visage, s’étend sur un mètre, le museau doté de crocs de belle taille en faisant la moitié à lui seul ; quant aux ailes, elles font, étendues au maximum, un total de douze mètres d’envergure. Au total, du sol au haut du crâne lorsqu’il est à quatre pattes, il mesure trois mètres de haut : deux pour les pattes, et un bon mètre pour l’encolure et le crâne.
Bien évidemment, cette immense carcasse est environnée du halo doré des Imagias Saints. Il est à noter que la peau est épaisse et très dure. Ce corps peut tenir debout sur les pattes arrières, afin de libérer les pattes avants, qu’elles soient mains ou pattes griffues. C’est, par ailleurs, sous cette forme bestiale qu’il est le plus puissant.

Néanmoins, ce n’est généralement pas sous cette forme, qui évoque davantage un Imagias Démoniaque qu’à un Imagias Angélique, que Siriag se présente aux autres êtres. Il préfère, en effet, adopter à la première rencontre au moins la forme d’un vieillard strict.
Le corps, haut d’un mètre quatre-vingt environ, est un peu maigre sous la veste et le pantalon d’un même gris qui le cache. Le visage grave et au menton couvert d’une petite barbe en trident, est surmonté d’une coupe grise, assez épaisse et demi-longue, avec un front haut et dégarni. Les yeux sont ambrés, mais peuvent parfois y apparaître les flammes du regard de la forme bestiale ; aussi Siriag prend-il soin de les cacher derrière des lunettes noires à monture grise, assez grosses, bien qu’il ait tendance à regarder par-dessus.
C’est sous cette forme humaine qu’il apparaît la plupart du temps aux entités conscientes, y compris à ses congénères ; qu’il lit, dans de vieilles bibliothèques ; ou encore, tout simplement, qu’il tient sa canne-épée, quand il veut l’avoir en main, s’appuyant assez lourdement dessus, peut-être même légèrement boiteux, bien qu’il semble probable que ce soit une façade.
Autre avantage de cette forme : comme c’est celle qu’il revêt en « public », il est difficile de savoir quel est son rang dans la hiérarchie des Imagias Angéliques lorsqu’il revêt sa forme bestiale, trop peu connue même des sien ; en fait, ce sont bien plus les Imagias Démoniaques qu’il a affronté avec difficulté qui la connaisse… La forme humaine est, bien évidemment, également entourée d’un halo doré.

L’on peut également noter une chose : Siriag n’a pas de sang, ni aucun fluide semblable ou remplissant la même fonction. Même matériel dans le monde réel, en lui tranchant la peau, en lui tirant dessus, ou en le coupant en deux, vous ne parviendrez pas à le faire « saigner ». Néanmoins, cette particularité physique n’a aucune incidence d’importance (ce sera juste un avantage pour se faire moins facilement suivre s’il est en fuite et blessé, par exemple…chose de peu d’importance, vu qu’il lui suffit de passer du monde réel à celui des Imagias, pour fuir).

♦ DANS LA CABOCHE ♦



Comment pourrait-on qualifier, avec un langage humain, ce qui passe par la tête d’un être si peu proche d’eux ? Ma foi, essayons.

Siriag est avant tout un fainéant. Vraiment. S’il pouvait ne rien foutre, il le ferait sans doute, exception faites de manger et lire, seules activités qu’il apprécie réellement. Paresser au soleil ou à l’ombre, sur une plage ou dans la neige, sur la rocaille ou dans l’herbe…peu importe, du moment qu’il peut paresser tranquillement. Et c’est cette paresse qui dicte en fait le reste de son comportement. Parce que c’est aussi un être logique.
Logique, tout simplement parce qu’il trouve cela plus simple que de réfléchir par sentiments, lesquels sont tortueux, inexplicables, et mènent à de mauvaises situations. Encore une fois, le seul sentiment qu’il accepte, c’est celui de plaisir quand il lit ou mange, ou glande. La réflexion lui apparaît moins dure que les conséquences d’actes irrationnels, et donc préférable, même si elle implique un effort conséquent. D’ailleurs, les sentiments qu’il a ne sont pas ceux de la plupart des Imagias, ni des créatures vivantes matérielles.

Et c’est surtout sur ce point-là qu’il se caractérise, sans doute, de ses pairs Angéliques : il n’a pas de « bons » sentiments. Cet Imagias Saint est particulier dans la mesure où la seule chose qui le pousse à faire le « bien », cette notion qui, en réalité, lui est assez fermée, c’est le mal-être qu’il éprouve comme tout Imagias du Paradis lorsque le « Mal » prédomine, ou lorsque son protégé est en danger. Siriag n’agit pas « pour le bien », mais « pour éviter le mal-être » qu’il peut ressentir. Fainéant, logique, il est naturel au fond qu’il se soucie peut de cette nuance et veuille en faire le moins possible, juste ce qu’il faut pour être tranquille : à quoi bon s’en charger, puisqu’il y aura toujours des Imagias Saints pour s’en occuper ; à quoi bon s’en mêler, puisqu’il ne ferait que s’épuiser et risquer la mort ; pourquoi y aller, puisque de toute façon le Créateur rétablira la balance à un moment ou l’autre ? La raison est donc simple : juste pour éviter cette sensation de maladie qu’inspire la dominance du Négatif aux habitants du Paradis, dont lui.
Il n’est donc pas zélé : que l’on ne compte pas sur lui pour aller au feu s’il n’y est pas contraint, qu’on ne lui fasse pas confiance pour aller gentiment répandre le « bien » dans le monde. Il s’en fiche. Et resterait terré au Paradis, s’il avait son mot à dire.
Et comme pour toutes ces raisons on ne peut pas lui faire confiance, il n’apprécie sans doute rien tant que l’isolement. Que les autres Imagias Saints ne viennent pas l’embêter, avec leurs histoires de bonté, de sympathie, de bienfaisance ! Et même, qu’AŦild ne l’ennuie pas à se mettre en danger ! Cela lui rendrait bien service, afin de pouvoir rester tranquille.

Au final, Siriag est sans aucun doute amoral et asocial. Il n’envisage même pas les Imagias Démoniaques comme des ennemis, mais plus comme un complément ordonné par le Grand Architecte ; un complément toutefois gênant, puisque quand les Démons rétablissent l’équilibre en faisant le « mal », la balance risque à nouveau de se briser en défaveur du « bien » et donc de le déranger dans son repos.
Mais s’il n’envisage les Imagias Démoniaques que comme un complément-concurrent des actions des Imagias Saints, il n’en estime pas moins que, comme ils l’embêtent en menaçant l’équilibre, il faut si besoin en liquider quelques-uns lorsqu’ils menacent la stabilité Bien-Mal. Aussi, comptez sur Siriag pour, si jamais il est dérangé, venir effectuer de façon morne ce qu’il voit comme un « travail » obligatoire, une corvée même, mais de la meilleure façon possible : très logiquement, encore une fois, s’il neutralise pour longtemps les Imagias Démoniaques, il aura plus de chance d’être tranquille longtemps…donc, tant qu’à être dérangé, autant régler le problème vite et bien : liquidation méthodique des ennemis pour les affaiblir durablement, renforcement du « Bien »…tous les moyens sont bons pour, à termes, avoir plus de chances de ne rien avoir à faire.

♦ VOTRE C.V. ♦



Siriag dit généralement qu’il ne sait pas très exactement comment il est apparut. Qu’il ne sait pas non plus d’où vient son nom. Qu’il ne se souvient qu’à peine de la période qui précéda son accès au rang de Trône. Il faut dire qu’avec quelque chose comme 9.000 ans de vie comme Imagias, on peut lui pardonner ses petits problèmes de mémoire, s’ils sont véridiques, d’autant plus qu’il ne s’intéresse guère à lui-même si ce n’est pour simplement « continuer ».
On ne sait pas même au juste quelle est sa nature. Les rares êtres connaissant sa forme réelle ont émit plusieurs hypothèses : la première est que Siriag pourrait être un projet de Volonté Occulte d’Invocation Magique du Grand Architecte, rabaissé au rang de Progeny à sa création en raison d’une quelconque question d’équilibre ou d’un défaut chez lui, ou d’une autre fantaisie du vieux schnock. La deuxième, assez proche, serait qu’il était l’unique ou le dernier membre de sa race, et qu’à sa mort il est devenu un Imagias, sur le modèle d’un humain qui meurt et devient un Archangia, par exemple. Une troisième, plus simple et peut-être la plus probable en réalité, serait qu’il était un humain ordinaire dans sa vie, et à sa mort est devenu un Imagias couvant une forme particulière ; car il est avéré aux yeux de tous que sa forme normale est la forme bestiale, non la forme humaine de vieillard. Siriag a lui-même évoquée son origine auprès de quelques-uns de ses pairs : pour lui, il serait un rêve du Grand Architecte, matérialisé quand celui-ci se réveilla en éternuant, par la puissance du Créateur du Monde, sans autre raison ; nul ne sait s’il plaisante ou si c’est vraiment ce qu’il croit ou sait, car jamais il ne laisse voir le moindre sentiment percer ne serait-ce que dans son regard, quand il expose cette idée. Mais, comme il le dit lui-même, son apparition n’a que peu d’importance, seule compte sa présence.
Il est donc apparut il y a environ neuf milles ans, maintenant, au Paradis de Theoc, sans se souvenir de rien d’avant, et avec un double potentiel inscrit en lui, à savoir sa forme bestiale et son accès au rang de Trône. A croire que Siriag est vraiment apparu comme Imagias, sans vie antérieure... D’une si longue vie (de je-m’en-foutisme et de glandouillage) sans évènement d’importance apparent, que retenir ?



Peut-être, d’abord, les services qu’il exécuta comme Imagias. Evidemment, il s’agit de travaux qu’il ne fit que sous la contrainte de sa nature d’Angélique : nous l’avons dit, il répugne à tout travail.


Concentrons-nous d’abord sur son travail le plus évident, le plus lié à ce qu’il est et à ses obligations : répandre le « Bien », cette notion si relative, si faible, en contrant le « Mal », notion toute aussi relative et faible. Siriag a eu plus d’une fois l’occasion d’intervenir dans le monde réel, forcé par le mal-être imposé aux Imagias Saints. Forcé à amener la bisounourserie dans l’univers, il a dû protéger tel innocent de tel bandit ou tel teremundo, aider un humain tentant de se suicider à casser malencontreusement sa corde, sauver un enfant qui traversait la route d’un chauffard et de son véhicule, éviter qu’un chien-chien à sa mémé ne s’étouffe avec un os de poulet, ou très souvent encore empêcher les papillons d’aller s’exploser la figure sur le pare-brise d’une automobile. Quand l’on vous dit que le boulot d’un Imagias, c’est tout et n’importe quoi !! Eh oui, le Bien prend plein de formes, souvent inutiles. Le Mal aussi, remarquez. De toute façon, aux yeux brûlants de Siriag, ces deux notions ne sont séparées qu’en ce que l’une le force à agir, et pas l’autre…et encore, lui-même ne saurait exactement dire laquelle le fait agir : le manque de Bien, ou le surplus de Mal ? Quelles foutaises !
Un autre travail de l’Imagias, déjà plus intéressant à ses yeux, mais bien plus dangereux, c’est le combat contre les Imagias du Mal. Pour prévenir les sursauts du Côté Obscur de la Balance du Grand Architecte, il faut prévenir les actions des Imagias Démoniaques, et pour cela les affronter. Depuis les millénaires qu’il affronte ses images opposées, Siriag a pu constater qu’elles étaient fort contrariantes et se laissaient rarement détruire. Et surtout, il a pu constater qu’il n’était pas un être invulnérable, même sous sa forme bestiale très résistante…il lui faut même reconnaître qu’il a essuyé de sévères défaites, à plusieurs reprises, d’autant qu’il s’adapte mal aux combats de groupe. Néanmoins, malgré des blessures, parfois sévères, sa puissance et son intelligence assez aiguisée quoi que puissent prétendre ses pairs lui ont toujours permis de survivre, quitte à se retirer du combat. Il faut d’ailleurs préciser que jusqu’ici il n’a dû battre en retraite que face à au moins un Prince soutenu par sa clique, ce qui tend à prouver une assez bonne résistance. En face, les pertes causées par cet Imagias Angéliques ne se comptent plus, et plus d’un démon maudit le Trône à la canne-épée.
Mais, plus spécifiquement sans doute que tout autre Imagias, il est affecté à la garde de divinités « bénéfiques », ou tout du moins non « maléfiques ». Ses capacités extra-sensorielles occultes lui permettent en effet de sentir quand un danger pèse sur une divinité non-maléfique, aussi est-il parmi les premiers à pouvoir réagir, intervenant contre les menaces. En neuf milles ans, il a « perdu » trois divinités, ne réussissant pas à les protéger suffisamment ou à intervenir à temps ; bien entendu, il n’intervient pas toujours, surtout lorsqu’il est au courant qu’un autre Imagias se charge de l’affaire. Récemment -enfin…il y un environ trois cents ans, mais ça fait peu, quoi !- il s’est vu affilier la surveillance d’AŦild, Dieu de la Paresse du Calme ; cette affectation est relativement tranquille, et convient assez bien à l’Imagias. Bon…depuis quelques années, AŦild s’attire des ennuis, avec cette histoire de « Blitzness Corporation », mais globalement, ça lui fait aussi une meilleure garde, et donc moins d’emmerdes pour son gardien : on s’y retrouve, ça équilibre, et ça ne serait pas pour étonner Siriag que le vieux fou qui dirige la trame de l’univers et tout le bordel qui en découle y soit directement pour quelque chose, avec ses histoires de constant équilibre.
Quelle que soit sa mission d’Imagias, Siriag a souvent eu l’occasion de combattre, que ce soit des êtres vivants comme les humains ou les teremundos, ou que ce soit ses opposés, les Imagias Démoniaques. Le combat est peut-être ce qui lui répugne le moins dans sa tâche d’Imagias : il a au moins l’impression de ne plus faire directement le Bien, et d’être plus libre de ses actes : il choisit de quelle manière combattre, éventuellement avec et contre qui, quels pouvoirs utiliser… Néanmoins, il sait que cela reste une partie de ses obligations, et ne peut donc s’empêcher de penser que ces combats ne sont destinés à rien d’autre qu’à l’embêter, en troublant sa tranquillité. Aussi, plutôt que de combattre directement et lui-même, a-t-il usé de ses connaissances pour organiser les combats des Imagias Saints.
En effet, lorsqu’il sent, comme ses pairs, qu’une crise se prépare, il essaye de les réunir pour organiser leurs rangs. De ses lectures, il a tiré comme enseignement que les batailles sont plus aisées à gagner lorsque l’on est nombreux et organisés que lorsque l’on est peu et brouillons : les traités humains sur la guerre ont leur utilité. Et c’est un avantage des Imagias Saints sur les Imagias Démoniaques : les premiers ne sont pas séparés par des affrontements internes, alors que les habitants de l’Enfer sont coutumiers de violentes concurrences.
Et c’est de ces réunions stratégiques, basées sur les états-majors des armées humaines du passé, qu’est venu le surnom de Siriag : « le Penseur Ennuyé ». Parce que s’il n’aime pas combattre lui-même, il apprécie un peu de réfléchir à comment faire combattre les autres : la tactique et la stratégie sont un exercice mental assez plaisant, et totalement libre, cette fois ! Alors, réfléchir, un air de profond ennui sur le visage, devant d’autres Imagias, c’est plutôt sympa, parce que ça lui évite d’avoir à trop bosser. Et au moins, en réfléchissant ainsi, il sent qu’il a un contrôle, même partiel, sur ses actes. Ses commentaires acerbes, lancés d’une voix désabusée, aux autres Imagias, lui ont value cette réputation de casse-pied à l’air blasé. Et c’est peut-être ce qui joue le plus dans la stabilité de sa place comme Trône : la réflexion est utile, et lorsqu’elle concerne ces combats que sont forcés de livrer les Imagias Saints, c’est-à-dire mener une action qui va à l’encontre de leur nature, elle leur évite d’avoir à trop se déchirer sur la façon de mener leur affaire, et leur permet d’être plus efficaces et donc de mieux atteindre leur but. Siriag s’avère un élément assez précieux du Paradis, quand il s’agit de réfléchir à la bataille.



Mais évidemment, il n’a pas passé toute sa vie à combattre et remplir son office de ressortissant de l’espèce « câlin powaaaarrrr ! ». Et n’a pas comblé tout ce temps restant à rien foutre : quand même, il est un minimum actif, même si ça ne se voit pas, ou alors que très peu ! Voyons donc, successivement, ses deux grandes activités.

Comme nous l’avons dit, Siriag supporte mal la compagnie, y compris de ses « confrères » du Paradis. Aussi, quelques années à peine après s’y être matérialisé, cherchait-il déjà des refuges, des lieux solitaires, où il pourrait se retirer pour préserver sa tranquillité bien-aimée. Depuis, certains ont disparus, ont été abandonnés, échangés…mais globalement, une partie de la vie de Siriag -une bonne partie- consiste à s’y retirer et à les préserver. Se faire chier à aller se planquer dans une caverne, quand existent enfin des lofts tout confort, vous vous dites sans doute que cela ne vaut pas le coup ? Détrompez-vous ! Dans une caverne, au moins, vous n’avez pas un bébé qui chiale chaque nuit à l’étage du dessus, vous empêchant de dormir plus de deux heures entre le coucher et le lever du soleil (oui, j’avoue, c’est ce qui m’est arrivé cette nuit…passons…) !
Bref, il a cherché -et trouvé- pas mal de lieux qui lui convenaient, à toutes époques et en tous mondes. Car le Paradis n’était pas sa seule « mine » à refuges. Bien plus, et étrangement, il apprécie le monde réel et les multiples caches et paysages que celui-ci offre. Etrangement, évidemment, car il n’aime généralement rien ni personne. Mais le monde réel, à ses yeux, à un attrait que n’a pas le Paradis : la diversité. Au Paradis, on ne trouve que des Imagias Saints ; dans Gaea, l’on trouve tout et n’importe quoi…et surtout, l’on trouve des êtres aveugles, qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez : les teremundos ne recherchent quasiment jamais qu’à se nourrir, les humains à s’enrichir et survivre, et les animaux et les plantes ne sont pas un danger pour le Trône. Aussi, les nombreux endroits vides d’êtres suffisamment conscients pour le déranger sont-ils nombreux, dans le monde réel, les humains se réunissant loin des lieux inaccessibles et les teremundos ne s’intéressant guère qu’aux lieux où vivent les humains et à leurs Catacombes…
Il a donc été aisé pour Siriag de trouver les caches magnifiques et tranquilles qu’il désirait. Et parfois, grâce à ses capacités d’Imagias et son potentiel magique, de se les approprier, car rappelons-le, tout Imagias Saint qu’il soit, son hobby n’est pas la kawaï-attitude (crevez, les deux modos-choupis-mignons qui lisez cette fiche !!!). Il n’a donc parfois pas hésité à chasser les occupants précédents par des tours de passe-passe parfois s’approchant dangereusement des actes dignes d’un Imagias Démoniaques ; mais il n’a évidemment jamais réussit à franchir la limite, du fait de sa nature, et surtout il s’est toujours donnée bonne conscience (style : « ils seront mieux dans la plaine au milieu des buissons de baies comestibles que dans une sombre grotte humide, alors que moi je suis pas sensible au froid », ce genre de choses qui permettent de se donner contenance en étant tout à fait faux-derche avec soi-même, vous voyez ?). Parmi ses planques préférées, l’on retrouve certes, donc, les grottes, les montagnes, mais aussi les plages, les forêts profondes, et assez étrangement les temples, surtout lorsqu’ils sont abandonnés et éloignés de la vie consciente. Il apprécie aussi de se laisser dériver sur un nuage, au gré des vents.

Son autre activité principale s’exécute le plus souvent dans ces caches. A savoir, lire. Et depuis neuf millénaires, il a eut l’occasion de bouquiner une sacrée montagne de bouquins, cet Imagias. Bon, d’accord, il a d’abord fallu attendre que les humains inventent le livre ; mais avant, il y avait les gravures, les dessins…tout ça, quoi !
Mais attention, Siriag ne lit pas n’importe quoi. Vous avez vu sa tête sérieuse sous sa forme humaine ? Eh bien, certains jeunes Progenys plaisantent à propos du vieux Trône en disant que ce sont ses lectures qui lui ont filé cette gueule de gardien de prison. En effet, il ne lit pas de romans à l’eau de rose, d’histoires insupportables d’héroïques aventuriers vainqueurs qui finissent pas avoir beaucoup d’enfants, de jeunes gens sauvant le monde de justesse…bref, toute cette littérature moderne basée sur la consommation sentimentale…hein ? Ah, pardon, on me dit : « pas de politique », donc, je vais me calmer. Bref : il lit des trucs sérieux, posés, intelligents ! Bon, pas toujours vrais : il a lu beaucoup de traités qui s’avéraient faux deux ans plus tard, ou contredits au même moment par une autre théorie…enfin, c’est les humains : ils font beaucoup de fautes.
Mais pourquoi cet intérêt du vieux Trône pour des choses qui peuvent sembler si inutiles, surtout pour lui qui n’a pas besoin de cela pour vivre et accomplir sa mission ? Justement, encore une fois, pour oublier son rôle, sans doute. Se plonger dans la matérialité des écrits, dans leur évocation de la réalité et des choses physiques tangibles, lui permet d’éloigner son esprit de sa mission à la c*n. En quelque sorte, il est une préfiguration de l’asocial qui se renferme dans le monde dématérialisé qu’est Internet pour échapper à son triste quotidien…bon, c’est dans l’autre sens, puisque Siriag, lui, se plonge dans le monde réel, mais ça revient au même ! Autre chose : l’avidité de lectures de Siriag vient aussi de son avidité de connaissances. Pourquoi faire ? Après tout, comme Imagias, il n’en a pas besoin. Pourtant, c’est peut-être son seul objectif de vie : accumuler et compulser le savoir. Pourquoi ? Il ne le sait pas lui-même : c’est un besoin irrépressible…étrangement semblable à celui qui le pousse à jouer sa fonction d’Imagias Saint : plusieurs fois, le Trône s’est demandé si ce ne serait pas une fonction inscrite en lui par son Créateur, au même titre que la forme qu’il avait d’inscrite en lui alors même qu’il n’était qu’un Archangia…

- Bon, ça suffit.
- Hein ?
- « Ca suffit ». Vous ne comprenez pas ?
- Mais, c’est MON récit !
- Non, c’est le mien, puisque c’est mon Histoire. Contentez-vous de faire votre travail de narrateur, et laissez-moi remplir le nombre de lignes de cette présentation à la noix moi-même, voulez-vous ?
*Le narrateur va s’asseoir plus loin en grommelant*
- Bon, que disions-nous ? Bon, il a fait mon apparition -très succinctement…-, mon boulot, mes p’tits plaisirs… C’est pas tout ça, mais je rappellerai quand même que le lecteur est l’un de ces humains ou de ces Teremundos, donc complètement idiot ; éventuellement un Imagias qui n’a que dans l’idée de me comprendre pour me battre (s’il est Démoniaque) ou me dépasser (s’il est Angélique), voire l’un des rares Dieux à la manque, qui ont le potentiel pour tout mais ne foutent rien…bref ! On s’adresse donc à un public qui se sert de la chronologie, donc on raconte ma « vie » dans le sens du Temps.
Je vais m’en occuper. Mais d’abord, je tiens à souligner que je déteste le Temps. Raison pour laquelle l’autre andouille qui vous a, jusqu’ici, raconté ma petite vie, a crut bon de découdre le récit. Mais comme je sais que vous êtes des esprits qui ne vivent pas longtemps, ou alors faibles et incapables de penser à une échelle universelle et détachée du Temps qui régente chaque aspect de votre vie, ainsi que sa durée, eh bien je vais oser m’abaisser à votre niveau pour que vous saisissiez mieux. Je suppose que là aussi c’est ma nature qui m’y oblige, tsss… Mais donc, je déteste le Temps : il est lent, ennuyeux, même pour moi qui ne suis pas sensible à ses effets. Et en prime, il me force à attendre les moments où j’interviendrai pour sauver les « gentils » des « méchants », rétablir la balance à la con du vieux schnock, toute cette sorte de choses…
Vous l’aurez compris : je hais les notions aussi imprécises que le temps, le bien et le mal…toutes choses, en fait, communes aux êtres que je déteste. Pourquoi on ne me fout jamais la paix, hein ?

Mais continuons, puisque je suis là pour ça…je n’aime pas le Temps, mais je n’en ai pas non plus à perdre avec vous. Commençons donc par le « commencement ».


Je suis donc apparut il y a plus ou moins neuf milles ans au Paradis de Theoc.
Comme vous l’a dit le narrateur, je n’avais aucun souvenir d’un possible passé : c’est pourquoi je crois que je n’en avais pas, et que je pense que je suis une création directe du barbu qui tient à avoir une chaussure propre comme un sou neuf et l’autre aussi sale qu’un tas de fumier. Il faut dire que ça compense tous les autres Imagias qui résultent de la mort d’un être préexistant et se souviennent de leur passé, n’est-ce pas ? Il vous a aussi dit que ma forme bestiale…BOUH ! *reprend rapidement sa forme humaine pour ne pas effrayer les lecteurs*…pardon, mais c’était trop marrant, vous devriez voir vos têtes…quoi, j’ai le droit de me faire plaisir aussi, nan ?! …je disais donc que ma forme bestiale, comme l’a dit M. le narrateur, était déjà préinscrite en moi ; vous comprendrez un peu plus tard. Enfin, j’avais aussi, et ça il a oublié de le préciser…

- Je le sous-entendais !
- Chut…préciser que j’avais aussi déjà mon psychisme actuel : je détestais les autres et mon « boulot », j’aimais la connaissance, la solitude (et la bonne nourriture, mais ça c’est un vice que j’évite de préciser). Bref, j’étais déjà, en puissance, potentiellement, « moi ». Même si je n’étais rien d’autre…au moins, j’étais moi, pas juste une créature bien obéissante. Et je le suis toujours ! Vive la Révolution ! Abattons le despotisme tyrannique de la classe monarcho-bourgeoise que le GA est à lui seul ! C’est la lutteuhhhhhh finaaaaaaleeeuuhhh…♫♪ *Lève le poing en l’air*. Désolé, c’est mon côté pro-pro(geny)létariat qui ressort, parfois. Je prends des médicaments, je vous jure. C’est la faute à mon grand âge (et à Raph, mais lui, il est toujours responsable).
Je suis donc arrivé au Paradis de Theoc sans bagages autres que ceux de mon corps et de mon esprit, petit Archangia qui ne semblait pas, autrement que de par son comportement, se démarquer des autres Progenys. N’ayant aucun souvenir d’une précédente vie, je n’ai pas considéré différemment le fait de débarquer au Paradis -même s’il s’est avéré pour moi un véritable enfer- que vous celui de naître et vivre une vie « normale » : pour moi, c’était tout naturel que d’être un Imagias Saints. Bref, j’ai mené une petite vie tranquille de Progeny, répandant le bien ici ou là quand j’y étais forcé, ne foutant rien le reste du temps…
…enfin, pas longtemps ! Parce qu’il se trouve qu’à n’intervenir que quand c’était nécessaire, j’avais un avantage sur les autres Imagias Saints : n’étant pas en train de répandre le bonheur en permanence dans le monde réel, j’étais disponible. Si vous voulez, je vous fais un parallèle militaire : dans une armée, en guerre, vous avez le gros des forces sur le front, en train de combattre, et quelques unités placées en réserve, en cas de brèche ou de soudaine alerte dans un endroit où aucune troupe combattante ne pouvait être dépêchée. Eh bien, dans l’armée des Imagias Saints, j’étais l’un de ces éléments de réserve : résultat, en cas de gros problème, de danger imminent, j’étais là et me précipitais. Et donc, j’affrontais les pires ennemis des Imagias Saints et les plus gros problèmes, puisque plus le déséquilibre était important, plus les adversaires étaient puissants.

Ce qui, rapidement, fit de moi un Principauty. Aaahhh, jour ô combien béni ! Enfin ! Enfin, grâce à la technique du Symbole Divin, je pouvais devenir moi, pleinement ! « Pleinement », car, je vous l’ai dis…

- « Nous » leur avons dis !
- Silence, c’est MON récit ! …car comme je vous l’ai dis, je portais en moi la puissance d’un aspect corporel, d’un physique particulier, alors même que je n’étais qu’un Progeny sans passé ! Chose étrange, n’est-ce pas ? Ne rien avoir derrière soi, et pourtant déjà être si différent de la masse malgré son rang d’Archangia uniformisé… Comment voulez-vous que je ne sois pas conforté dans ma théorie de mon apparition ? Or, donc, je pu enfin déployer, à l’instant où ma puissance nouvelle fit de moi un Principauty, ce physique monstrueux : mon corps bestial, proche du loup en grand partie, mais tellement étrange dans ses particularismes, ses formes, ses couleurs… Vous savez sans doute ce que c’est, que de se sentir bien dans sa peau ? Eh bien, enfin, je quitter ce corps de Progeny si inadapté à mes sens et à mon âme, pour ce corps dont je savais qu’il était le mien, sans jamais l’avoir vu…car il n’était qu’une présence invisible dans mon esprit, mais une présence bien établie et stable, une sorte de chose insaisissable et invisible, mais dont vous êtes certains…QUI A DIT « COMME LUNA LOVEGOOD ET LES NARGOLES » ??? QUE JE LUI ARRACHE LES…ah, non, zut, j’ai pas le droit…*se concentre un instant*…gentil, positif, tout plein de joie et d’arc-en-ciel avec des poneys roses…ouais, youpi…beurk. Bon, donc, enfin, j’avais mon corps à moi, celui dans lequel je me sentais bien…et celui qui me conférait le plus de puissance, car justement il me convenait le mieux.
Et en combinant mon nouveau corps, qui me convenait parfaitement, et mes habitudes de « réserve »…eh bien, vous obtenez un Principauty puissant habitué à combattre les pires adversaires plutôt qu’occupé à faire tomber un billet du portefeuille d’un riche sous les yeux d’un pauvre ou à maintenir en vie un bouquet de roses dans un vase, alors qu’elles se fanent. Ahhh, voilà une vie qui me convenait déjà bien mieux. Être soi et faire presque ce que l’on veut…chose merveilleuse que peu d’entre vous, vils êtres enchaînés aux habitus, normes et valeurs d’une société, n’atteignent !

- Ne l’écoutez pas trop, il se la joue mégalo…d’ailleurs, il restait enchaîné à sa nature d’Imagias Saint…
- Ouais, bon, ça va…bref ! Principauty puissant, donc, qui réalisait des tâches qui lui convenaient déjà mieux. Une forme de liberté, en quelque sorte, même si elle ne sera jamais que partielle. Qui plus est, finit les tâches les plus basses, réservées au plus bas des rangs du Paradis : à moi l’entrée dans les hautes sphères. Car, avec les connaissances, y compris guerrières, que j’accumulais, et à mon habitude des combats, nous en revenons à ce que disait « l’ami » narrateur : je suis rapidement devenu un excellent élément des « troupes » du Paradis. Voyez : pour moi, les Imagias ne sont jamais que des soldats combattant pour un équilibre que le vieux schnock est incapable de maintenir lui-même, ce qui prouve soit sa faiblesse, soit son incompétence.
- Il va venir t’engueuler. Et cette fiche sera lue par au moins ses trois principaux serviteurs, ils vont te saquer.
- Peu importe, je suis constitué à 100% de magie, ils sont moins bien placés que moi pour parler du Créateur des Arts Occultes ! Pis je les ai déjà engueulés, et toi aussi, andouille !
- Pas faux…sauf que moi, je suis impersonnel, alors que toi…
- Encore une fois : tant pis. J’ai ma liberté, je l’utilise ! Bon, donc…voyons, on en était à quoi ?
- Principauty…prends tes médocs…
- …Principauty…*Avale des pilules avec un verre d’eau*…ah, ouiiiii, Principauty !! Principauty…qui, donc, s’est rapidement avéré être un génie pour les affrontements d’envergure qui opposent parfois les deux camps d’Imagias. Pas que pour ça, mais bon, comme il paraît que je « me la joue mégalomane », je vais pas trop m’encenser, même si je suis loin de mentir -le mensonge n’est pas dans ma nature, de toute façon.

Bref, il ne s’était pas encore écoulés trois siècles depuis mon apparition que je devenais une Puissance. Ben oui, je suis un Trône, donc même si j’ai rien foutu de ma vie, j’ai pas tardé à grimper dans l’échelle « sociale » du Paradis. Mes pouvoirs et mes capacités m’ont permis d’accéder à de hauts rangs rapidement, eh !
Devenir une Puissance…là encore, ce ne fut pas difficile. Surtout que c’est à force d’être efficace que je suis passé dans la Deuxième Sphère. Il faut dire que ce n’est pas bien difficile, d’autant que les places ne sont pas limitées : je ne m’y attarde donc pas, c’est de fort peu d’intérêt.

Devenir Dominatio…voilà qui est déjà plus intéressant, non ? L’un des huit maîtres de la Deuxième Sphère du Paradis de Theoc…bref, une place qui peut susciter les envies, et pour laquelle un bon nombre d’Imagias sont en compétition, compétition qui est loin d’être amicale. Même moi, je l’avoue, je désirais monter en rang…ohhh, pas pour la gloire, le prestige, la puissance accrue, tout ça…non, par fainéantise. Je m’explique : plus vous êtes bas dans la hiérarchie des Imagias, plus tôt vous ressentez ce malaise qui vous pousse à intervenir pour rééquilibrer le monde. Et plus vous êtes haut, moins vous intervenez tôt…et moins vous intervenez tout court, même : on ne vous dérange pas pour des peccadilles. Ben ouais : on ne tue pas des mouches avec un bazooka, quand même. C’est donc juste parce que je voulais être em…miellé…le moins possible, que je voulais acquérir un haut rang. Et plutôt que de jouer au test de force pure, comme beaucoup d’autres « Saints », j’ai encore une fois misée sur l’intelligence et la connaissance. Eh oui, ne croyez pas que c’est parce que vous êtes au Paradis que vous êtes débarrassé des kékés et autres kevin…regardez sur les jeux du Net : ces idiots jouent plus souvent le « brav chevalié tro for lol tro bon mdr ki sov la pr1céss xd » que le Chevalier Noir ou le Vampire très stylé…ben le Paradis, c’est pareil. Je vous rappelle que l’on a des « génies du crime » et des gens lambdas et pas forcément très malins ou réveillés « pleins de bonne volonté ». Que voulez-vous…c’est pour ça aussi que je déteste mes semblables. Je suis presque envieux des Imagias Démoniaques…
Dominatio, donc. La manière dont je le suis devenu est assez…cocasse. Dans la hiérarchie du Paradis, lorsque l’on doit pourvoir à…tiens, le narrateur !

- Hum ?
- Expliques-leur, j’ai une crampe à la langue.
- C’est possible, ça ?
- Non, mais ‘fallait que je trouve une excuse pour fainéanter. Aller, au boulot, je te paye pour cette fiche…
- Même pas vrai, je suis pas payé, ni par toi ni par l’enfoiré de joueur ! Je suis un esclave, et je…
- Fais-le, ou je t’explose la…hum, non, c’est vrai. Eh bien, fais-le, et j’userai de mes Arts pour te payer. Un penas la ligne complète.
- Ok, si y'a du pognon en jeu ça marche. Bon, allons-y, la succession aux PPL (Postes à Places Limitées) du Paradis…pour les Enfers, c’est facile : ils s’entretuent, et la succession se fait selon le tueur. Mais au Paradis, ils ne se lattent pas la tronche entre eux, évidemment, puisque c’est les « gentils ». C’est donc une succession, au sens réel du terme, selon le mérite : le plus puissant ou efficace des Saints du rang inférieur passe au rang supérieur quand une place se libère. Mettons qu’un Trône soit tué dans un affrontement : le meilleur des Dominatio le remplace, et la meilleure des Puissance prend la place de Dominatio vacante. Compris ? Vous n’êtes pas aussi bêtes que le pense Siriag, donc ça doit être bon ? Je continue ?
- Vas-y, je récupère…
- On se demande bien de quoi… Bon, donc, Siriag a eut son poste de Dominatio de manière cocasse, et assez simple. Il se trouve que l’une des divinités de cette époque -il y a 8.700-8.600 ans environ, suivez un peu !- s’est brusquement retrouvée en danger, à un moment critique, alors que la balance penchait en faveur des Imagias Infernaux…ceux-ci venaient de rétablir leur côté de la balance après une période de léger déséquilibre en faveur du Paradis -voyez ça comme un match où l’on compte les points, un peu- et en avaient profité pour la faire pencher à leur avantage. Evidemment, tous les Imagias Saints sont montés sur le pont -enfin, descendus sur Gaea…-, sauf quelques-uns des plus puissants et lui, restés en réserve. Il venait tout juste développer sa capacité « Divinité en danger »…bon, à la base, ça devait être « Bibliothèque en danger », pour qu’il puisse sauver les livres d’une bibliothèque sur le point d’être détruite, genre par un incendie…mais en se concentrant sur le livre qui devait servir à l’élaboration de la technique, il a vu dedans l’image d’une divinité…et ça a merdé !
- Ca va, ça va…
- Eh, il faut dire ce qui est. Je poursuis : pendant que la plupart des Imagias désireux de bien faire étaient sur la brèche, un Dieu Démoniaque a tenté de profiter du déséquilibre pour éliminer l’un de ses rivaux bienfaisants. Dès que le dieu démoniaque se mit en marche, Siriag se précipita, poussé par son nouveau sens et son besoin de « positivisme » que ça nature lui imposait, auprès du dieu bienfaisant. Premier arrivé, puisque les autres Imagias, même plus puissants, n’ayant pas cette capacité, ne furent au courant que lorsque l’engagement entre les deux dieux commença. Et au même moment, les Imagias Démoniaques se ramenèrent pour protéger « leur dieu ». Bien évidemment, grosse baston entre les deux divinités et à côté les Imagias des deux camps, vous pensez ! Et dans le tas, on retrouve Siriag, parmi les moins puissants présents. Et ce fut sa chance de devenir Dominatio. Car s’il n’était pas le plus puissant des Imagias présents, c’était parce qu’au-dessus de lui, côté Paradis, n’étaient venus que des…Dominatio et un Trône ! La partie en face étant suffisamment forte…c’est lorsqu’il s’écarta de justesse du passage d’une salve d’aktiva saphirs, lancés par trois Tourmentas présents, que celle-ci frappa de plein fouet un Dominatio, occupé contre un Sous-Prince. Etant la plus puissante des Puissances présentes, l’une des plus puissants existantes, Siriag reçut aussitôt le rang de Dominatio…son don le prévenant du danger guettant une divinité avait certainement joué : ce pouvoir, acquis par maladresse, se révélait un aout de choix, surtout pour un Imagias aux pouvoirs lui permettant de protéger efficacement une divinité. Le combat s’acheva lorsque finalement le Trône imposa sa puissance, repoussant les assauts du dieu maléfique, qui battit en retraite, rapidement suivit des Imagias Démoniaques qui, dès lors, n’avaient plus de raison de combattre. Résultat : ex-aequo entre divinités, perte d’une Dominatio côté Saint…remplacé aussitôt par un Siriag qui, enfin, entrait dans le « club » réservé des douze plus puissants Imagias Saints après les Séraphins.
- C’est bon, je reprends.
- Déjà ?
- Ouais. Donc, Dominatio…attendez. *Reprend un médicament* Ah, ça va mieux. Bon, comme Dominatio, j’ai pas foutu grand-chose de plus qu’avant. Mais la puissance octroyée par ce nouveau rang, ainsi que les nouveaux pouvoirs acquis et les adversaires plus puissants que j’ai ainsi pu abattre, m’ont fait progresser peu à peu. Comme j’ai pris mon temps, cela m’a demandé près de quatre siècles avant de devenir le plus fort des Dominatio en poste.

Et là, il m’a fallut attendre, puisque quatre Trônes étaient déjà en place. Trois siècles de plus furent nécessaires, temps que je mettais à profit, surtout, pour trouver des caches bien à moi. Mais enfin, le jour tant attendu arriva, il y a environ sept mille huit cents ans, où l’un des Trônes disparut. Cette fois, je n’étais pas présent au même endroit, et en fait je ne sais même pas ce qu’il lui est arrivé. Tout ce que je sais, c’est que brutalement, j’ai sentit, comme lors de mes précédentes ascensions dans les rangs, une vague de puissance me revigorer… Voilà comment je suis devenu la puissance Sainte que vous avez devant vous aujourd’hui.
Attention, toutefois. Ne croyez pas que cela fait près de huit milles ans que je combats comme Trône. Oh que non ! Le narrateur vous a dit, plus tôt, que mon pouvoir m’avait spécialement destiné à protéger les divinités et qu’il y a environ trois cents ans « on » m’a réaffecté à la surveillance particulière d’AŦild. Mais en fait, pendant toute la longue période où j’ai exercé mon rang de Trône, je me suis le plus souvent retiré du monde. Au sens métaphorique du terme ! N’allez pas croire que je disparaissais dans le néant, non : je retournais dans mes caches, ou me plongeais, une fois que l’écriture fut inventée, dans la lecture des ouvrages humains, quels que soit leurs supports. Néanmoins, dans l’ensemble, j’ai été très absent de l’activité des Imagias, ne revenant exercer le rôle de Trône que lorsque c’était nécessaire. Il faut dire que je profitais des avantages -puissance, pouvoirs…- en minimisant les inconvénients -pas de participation très active aux actions des Trônes… D’aucun me taxeraient de profiteur…c’est vrai. Je suis une feignasse, qui n’aime pas bosser : vous avez compris que je ne m’en cache pas le moins du monde, à présent, non ? Or donc, j’ai peut-être été « présent » parmi les Imagias ou dans Gaea…deux millénaires, au total, sur les huit que compte mon rang de Trône ? Plus, à côté, les quelques situations d’urgence, évidemment : grands affrontements, protection des divinités en danger… Mais le reste de ma… « vie », à défaut d’un meilleur terme, s’est écoulée assez tranquillement, et surtout, isolément.
D’ailleurs, dans les faits, je ne suis vraiment revenu que récemment. A plusieurs reprises, les autres Imagias du Paradis ont pu me croire disparut, tellement j’étais absent de la « circulation ». Le fait que nul Dominatio ne me remplaçait comme Trône prouvait le contraire. Mais ainsi, l’avant dernière fois que l’on s’est assuré réellement de ma présence, c’est quand la Première Sphère a su que l’on m’avait confiée la garde d’AŦild. Et la dernière fois…eh bien, c’est maintenant au moment où l’abruti qui me joue poste cette fiche en disant « fini » !! Ben oui, vous croyez quoi ? Ce tyran m’oblige à bosser…il est PIRE que Dea et le vieux schnock réunis !!! Alors, aux commendataires de cette fiche, je demande l’indulgence : je ne suis qu’un esclave qui n’est pas habitué à faire des fiches de présentation, et l’exploitation du prolétariat des personnages RP par les joueurs réels est une infamie sans nom ! Je n’irais pas jusqu’à dire « mort au RP », puisque sans lui je n’existerais pas, mais enfin… !!

- La suite, la suite ! Tu t’égares à nouveau…
- Ah, oui…le « politiquement et rpiquement correct »…tsss, j’vous jure. Bon, donc, j’ai pas foutu grand-chose, et je me suis à nouveau manifesté récemment. La suite, on verra bien.

Bref, je me coltine l’autre boulet de dieu…remarquez, hein, ce n’est pas si critique, il n’est pas trop chiant et à tendance, heureusement pour moi, à fuir les emmerdes. Voilà où j’en suis actuellement, rien de neuf sous le soleil…enfin, quand il ya du soleil : je suis plus un habitué des endroits fermés, sauf pour mes chères montagnes enneigées…

- Mouais, c’pas tout, t’as encore une cinquantaine de lignes sans délire à faire. Dix si on compte large.
- Ben c’est l’occasion pour toi de gagner plus de fric : je t’en prie, vas-y. Je vais bouquiner, pendant ce temps.
- Décidément… « le Penseur Ennuyé » devrait être renommé « la Feignasse des Imagias », surtout que ça rime, au moins. Bon.

Nous disions donc que voilà où en est arrivée la petite vie de Siriag. Comme précisé plus tôt, il se manifeste le plus souvent, non sous sa forme préférée, mais sous une forme humaine, habitude qu’il a prise peu après être devenu Dominatio, c’est-à-dire il y a suffisamment longtemps pour que peu d’Imagias Saints même se souviennent de sa vraie forme. Mais même malgré cette apparence connue des siens, il est si peu présent qu’il peut se promener assez tranquillement, sans être interpellé par des bandes de jeunes Progenys ou Principauty désireux de gagner en puissance. L’anonymat, en quelque sorte. C’est sûr, quand on agit peu, on est assez méconnu, et donc tranquille. Encore une fois, oui, je vous rappelle qu’il ne trouve pas le Paradis si paradisiaque que cela. Quant à sa vraie forme, il la revêt le plus souvent une fois de retour dans l’un de ses antres, pour dévorer un livre ou éventuellement regarder le paysage, l’esprit vide le plus souvent, en se sentant au mieux.
« En pensant à quoi, quand il pense ? », vous vous demandez. Si si, je le lis dans vos yeux, ne démentez pas. Je suis le narrateur, donc je raconte à la troisième personne, et je peux être omniscient si j’veux ! Eh bien, donc, en pensant, surtout, à ce qu’il aimerait. Être toujours peinard, passer son temps à lire dans une de ses planques…manger… Vous me direz : « mais c’est ce qu’il fait déjà sans cesse ». C’est vrai ; mais il risque quand même à tout moment d’être dérangé. Son désir le plus profond est en fait de perdre sa nature d’Imagias. Il a connu cela pendant neuf millénaires, et c’est tout ce qu’il a connu…et ce qui l’a révulsé. Le Trône, pourtant sans doute l’un des plus libres des Imagias dans ses actions, s’est toujours sentit oppressé et prisonnier de sa nature même. Il n’est pas contre faire le bien : il ne supporte pas juste de se sentir obligé de le faire. C’est en fait un esprit très libéral, aussi désireux qu’un souffle de vent de bouger, et de sortir de sa gangue de bienfaisant du monde réel. Il aime à laisser son esprit dériver vers tout et rien, vers le Néant qu’il souhaite bien souvent rejoindre sans le pouvoir : il est un Imagias, et mourir ne ferait que le ramener au rang de Progeny, et à une situation plus détestable qu’auparavant. C’est bien pour cela qu’il exécute ses tâches de Trône : il n’a pas d’autre choix pour conserver ses acquis de neuf milles ans d’existence.
Néanmoins, si son but à long terme est d’échapper à ce qu’il est, son but à court et moyen terme -relativement parlant, nous l’avons dit : il n’a pas la même conception du Temps que vous, lecteurs- est assez simple : devenir un Séraphin. Pourquoi donc ? Eh bien parce que, outre la puissance supplémentaire que ce rang lui accorderait, il aurait encore moins à intervenir dans le monde : les Séraphins se manifestent rarement en-dehors des Invocations, et très rares sont ceux à pouvoir les invoquer ; par ailleurs, une partie de sa théorie sur son existence reposant sur le fait qu’il ait été originellement destiné à devenir Séraphin le pousse à vouloir en quelque montrer qu’il est « à la hauteur » de ce rang d’exception, qui plus est le prouvant par sa persévérance et son trav…ah, non, pas son travail, suis-je bête…bref, disons qu’il veut montrer qu’il mérite de l’être, s’il était bien destiné à être Séraphin.
Toutefois, il ne veut pas, par contre, de la place de Dea. D’une, parce que ça le mettrait bien plus en vue encore, ce dont il n’a pas la moindre envie. Ensuite, parce que ça lui paraît de toute façon impossible de remplacer le « maître » des Imagias : il peut s’estimer puissant et intelligent, il n’en reste pas moins réaliste et conscient qu’il ne vaut certainement pas grand-chose face au chef de file du Paradis. Enfin, parce qu’il pense que Dea a encore plus de boulot qu’un Séraphin. C’est vrai, quoi, c’est pas parce que le chef de la Blitzness Corporation est une feignasse à peine moins pire que Siriag lui-même, que Dea l’est forcément, même s’il est le « boss » du Paradis ! Il doit bien y avoir quelqu’un qui travaille, ici, nan ?
Or donc, le Penseur Ennuyé passe autant de temps que possible à contempler les cimes des plus hauts sommets de Gaea. Spectacle ô combien passionnant, malgré l’immobilisme de ces paysages désertiques, arides, rocailleux…gageons qu’il a passé plus de temps à cela qu’à tout le reste, même lire, en fait. Il songe à la réalité de la roche des montagnes, attachés aux flancs du monde réel ; à la belle neige éternelle, qui n’a aucun soucis du reste du monde ; au vent, calme ou déchaîné, qui serpente entre ses montagnes, suivant une route que lui seul connaît et qui change au gré de ses envies…ce paradis blanc, si agréable, si enchanteur. Un lieu de repos où l’Imagias Saint souhaiterait demeurer à jamais…

Voilà, je crois que nous avons tout vu. Ah, si…notez qu’il est gaucher…la main senestre, erk !
Bon, et maintenant, mes penas… Siriag ? Siriag ?! Eh !! Merde, il s’est barré !! RADIIINNNNN !!!

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ET VOUS ALORS ?
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MessageSujet: Re: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeMer 7 Déc - 13:16

Ellianne Carpophorus a écrit:
Alors alors... à nous deux, finalement ! Ouai, j'suis en retard, mais on s'en fou ! Et ouai, ce commentaire va peut-être être bizarre, étrange, tordu, inattendu, etc... ou peut-être pas. J'en sais rien, mais c'est toi, et puis c'est moi, donc j'ai le droit Cool Et puis j'suis la méchante modo, alors je fais le mal :mal: comme lui là ! Et puis puis j'suis une ex-Apo, donc c'est même une vocation Cool

:mal: :mal: :mal:

Aux autres gens, si vous ne comprenez pas des trucs, ça peut être normal. C'est un commentaire pour mon escl... mon p'tit loup et puis c'est tout ! Dial, si ce commentaire te semble trop long, dis toi qu'il est spécial ^^ Pareil s'il te semble spéce ou autre ! Allez, on y va, et en force !

:mal:

Déjà, pour commencer et avant toute chose, le nom de la fiche en bleu... baaaaaaaah, c'est d'un commun ! Tu es au même niveau que boulet-noob-baka-man le Demi-Dieu du Temps, bravo !

Ensuite ton surnom... non mais oh, tu te prend pour Kywx ? Tu crois pouvoir arriver à la cheville du Garant en étant un penseur ennuyé (et ne nie pas, Zinzinuler c'est ça : penser et s'ennuyer... bon et c'est plus que ça mais c'est aussi ça, et j'me comprend). Tu veux que je t'achète un pyjama-couverture de lit, un fauteuil et deux p'tits chiens, pour que la caricature soit complète ? Car ouai, c'est que caricature, tu n'es pas assez bien pour mériter le nom d’imitateur !

Ensuite, "Imagias Angélique"... on le sait que t'es un Imagias, "Ange" aurait largement suffit ! Et puis "9.000 ans"... on écrit neuf milles ans, ou 9000 ans à la limite, mais pas ça ! Sans compter que tu te prends pour qui, le Papy de la mord ? Ce nom là aussi il est déjà pris, alors passe également !

Oh et encore une intervention "tangible" du GA, il a matérialisé un rêve... quand comprendrez-vous que le GA c'est pas un personnage a faire intervenir mais bien un mythe pour TOUS les gens, Imagias et Dieux compris ? Et qu'on me parle pas d'originalité, un rêve matérialisé, c'est d'un commun ! J'utilisais déjà ça quand j'avais à peine quinze ans !

Alors tes aime/déteste... Ah, que le Phénix Tout Puissant me vienne en aide ! Déjà c'est bourré de synonymes et d'approximations des mêmes choses pour gonfler, et le "déteste" est minablement rallongé par un mot tourné à la Yukai pour lui faire gagner de la longue, ce qui cloche totalement dans la fiche :

Citation :
son boulot d’Imagias Angélique « trop-cool-de-la-mort-qui-tue-qui-rend-joyeux-lol-mdr-xd-ptdr » et tout ce qu’il comporte

Non mais que tout le monde voit bien... tu fais même PIRE que mon canari à la crème ! Et en plus, le tout est incohérent ! Montrons le par une démonstration logique de base :

1) Les loups sont des êtres vivants.

2) Siriag déteste les autres êtres.

Donc découlant de cela ::: Siriag déteste les loups !

Mais pourtant non, môssieur aime les loups (de Lorraine ?) et y va dans la joie ! Et c'est toi qui est sensé être logique hein ? De qui se moque-t-on !

Oh et en plus de l'illogisme voilà que môssieur tombe aussi dans le mensonge ! C'est quoi ces Arts Occultes ? J'ai vu ta fiche technique et il s'y trouve quantité de choses qui ne sont NI énergétique NI tenant à un "art occulte pur". L'art occulte était une utilisation de l'énergie magique, il faudra d'ailleurs qu'on m'explique la distinction fondamentale entre les deux.

Donc en fait tu donnes deux arts qui n'en font presque un et tu passes sous silence tous les autres ! Qu'essayes-tu de nous cacher, vile créature ?!?

Citation :
Arme: Une canne-épée, la lame étant dissimulée dans le manche

Et EN PLUS tu nous prend vraiment pour des débiles ? Evil or Very Mad Forcément que la lame est dissimulée dans le manche si c'est une canne épée, baka !

Ah et tient, pour continuer dans le foutage de gueule, toutes les lignes ont une majuscule... sauf la dernière ! Hé quoi, elle est partie en vacances aux îles Moluques ? Elle t'as envoyé une carte postale au moins ? En plus la construction même de la phrase est chelou, cette virgule n'a pas grande raison d'être. Faut pas engager des intérimaire pour remplacer les pro, tssss u_u

*Ignore ostensiblement le thème musical forcément pourrave et va se chercher une bière bleue pour tenir le coup (ouai, tout d'un coup je bois de l'aclool, shut !).*

Oulà, ça commence bien ! Facilité textuelle et rallongement en force : on commence d'entrée de jeu par dire ce qu'il n'est pas ! Tu sais tu aurais pu encore continuer sur vingt lignes pour en rajouter encore un peu "il n'est pas un cochon d'inde, ni une fourmi, ni un fusil d'assaut, ni une pierre, ni un red fish... heu poisson rouge, ni une Plante Verte, ni une boîte de conserve, ni un veil ancien, ni etc etc" tant qu'à faire ! Première règle d'une description de pro : on ne dit pas ce qui n'est pas parce qu'on en a jamais fini ! Espèce de nullard !

"Car le corps, c'est un corps"... wouahooooooooooooooou, je m'en serais pas douté ! Et la marmotte elle met le chocolat daaaaaaaaans le papier, mais bien sûr ! Déjà deuxième... paragraphe (le texte méga aérer pour être grossit encore un peu, bravo !) en carton pâte !

Je ne détaillerai pas la description en elle-même qui laisse voir une créature aussi grossière que maladroite, mais par contre ah par contre, l'analyse stylistique ! C'est une description chimérique à deux balles ça ! T'es pas capable de faire une description romancée moderne et fluide ou quoi ? Faut que tu t'en tiennes à de vieux schéma moyenâgeux ou plus vieux encore pour décrire tes créatures ?

Là Siriag n'a pas d'attribut propre, ce n'est qu’un conglomérat maladroit de bouts de choses piquées à gauche et à droite, comme un dragon ancien... c'est vraiment pathétique ! Tu aurais pu dire "Puissantes étaient ses pattes félines, aux griffes tranchantes et acérées, etc..." mais non, solution de facilité...

Honte à toi ! :panpankuku:

Alors la tête de loup, je vais même pas commenter tellement ça mérite même pas de commentaires... c'est bon, assume-la ta zoophilie et met toi en mariage avec la louve de tes rêves, tu seras plus libéré ! J'suis sûre que c'est légal et même bien accepté... quelque part, loin d'ici, chez les sauvages du Bourtambourgoulilistan !

De même le coup des yeux en feu... pffffffff, ouai nan, je ne vois pas d'où ça vient Rolling Eyes y a pas du tout un film sur ton ordi où le héros a des yeux en feu, oulà, nan ! Pas du tout le film dont tu voulais tirer ton avatar humain à l'origine d'ailleurs Rolling Eyes Franchement, encore une fois ridicule le pur plagiat !

Citation :
Enfin, cette forme bestiale est, nous l’avons dit, démesurée

Si tu l'as déjà dit, pourquoi tu le répètes ? Et c'est quoi ce nous pour déguiser un vil "je" qui n'a rien à foutre là et dénote la médiocrité de tes tournures de phrases, hein ? :panpankuku:

Citation :
Bien évidemment, cette immense carcasse est environnée du halo doré des Imagias Saints. Il est à noter que la peau est épaisse et très dure. Ce corps peut tenir debout sur les pattes arrières, afin de libérer les pattes avants, qu’elles soient mains ou pattes griffues. C’est, par ailleurs, sous cette forme bestiale qu’il est le plus puissant.

Alors là c'est le plus beau, la paragraphe feinté ! C'est pas un paragraphe, c'est des phrases mises bout à bout tout simplement, on avait nulle part où les caser alors plutôt que de les intégrer harmonieusement (si on peut dire vu ton style d'écriture) au texte ou même de les tisser de façon cohérente entre elles on les met toutes à la fin pêle-mêle et on se dit que le lecteur fera avec. BEN NAN ! On doit PAS se dire ça ! On doit faire un ensemble fluide et qui ait du sens ! Là si je bouge les phrases on s'en fou ça change rien, elles ne sont pas connectés, ne font rien ensemble, bref c'est moche et médiocre !

Citation :
qui évoque davantage un Imagias Démoniaque qu’à un Imagias Angélique

Oy oy, c'est l'heure de "une belge apprend à des français à parler français !" en direct live sur vos écrans ! Alors alors, un "qu'/que" appel une correspondance avec ce qui se trouve avant dans la phrase "Il préférait aller à Paris plutôt qu'à Rome", "mieux vaut un tient que deux tu l'auras" eeeeeeeeeet... "qui évoque d'avantage un Imagias Démoniaque qu'un Imagias Angélique", sisi(llius) (et sans parler de la répétition grossière !). "qui fait d'avantage penser à un Imagias Démoniaque qu'à un Imagias Saint" aurait aussi fonctionné, mais en tous cas il faut une concordance qu'on ne trouve pas ici et qui rend cette phrase absolument et totalement incorrecte !

Toi pas savoir parler français ? Toi vouloir réessayer en italien ? What a Face

Bon, suis un ou deux paragraphes qui peuvent sembler corrects si on ne les regarde pas de trop près, et puis vient l'énormité de chez énormité : l'être sans fluides corporels. On ne devrait jamais laisser un juriste décrire quoi que ce soit tient. Bien que notre baka d'admin principal (je t'aime Dialounet) laisse sûrement passer cette absurdité comme à son habitude, laisse moi te dire que c'est proprement et tout simplement IMPOSSIBLE ! Tssssssss... Faut vraiment qu'il y ait de la merde jusqu'au bout hein !

*Attrape un verre pour se donner du courage et... recrache aussitôt.*

QUI M'AS FOUTU DU BERRYCHAMPAGNE ?!?!?! Qu'il se dénonce, et je promets de le trucider presque sans douleur trop grave ou disons en tous cas trop insoutenables du point de vue de quelqu'un qui ne sens pas la douleur...

*Se nettoie la gorge à la bière aux champignons puis toussote un bon coup et reprend.*

Je disais DONC !

Citation :
Comment pourrait-on qualifier, avec un langage humain, ce qui passe par la tête d’un être si peu proche d’eux ? Ma foi, essayons.

Genre comment il se la pète... Les Imagias tu crois qu'ils parlent quelle langue, le grec ancien ? Test pour voir ? Non ? C'est bien ce qui me semblait ! L’Architecte étant plus malin que Dieu (ou nous moins cons pour pas avoir fait de Tour de Babel (quoi que, ça pourrait expliquer la Tour de Lance *note*)) il n'a pas pensé à nous faire parler des langues différentes et donc cette remarque n'a rien à faire là !

Citation :
sur la rocaille ou dans l’herbe…peu importe

Par contre le GA inventa l'espace, qui se met même après les points de suspension, sisi(llius) !

Le début de la psychés me semble étrangement familière, et me rappel toute une série de mp datant d'il n'y a pas si longtemps... ooooooooouah, tu as été la chercher looooooin ton inspi Rolling Eyes tu creuses vraiment profond pour trouver les détails "caractéristiques" de ton perso, si on peut dire vu que c'est jamais rien d'inventé de façon originale u_u

Sinon le reste pendant un long moment ben ça se tient plus ou moins, mais ça fait un perso très classique, encore une fois un Zinzinuleur ou un Retraité de base, et pas un très bon u_u Quelques tournures de phrases maladroites et quelques lourdeurs de constructions qui dérangent le lecteur dans son travail, et ça c'est mal ! Evil or Very Mad Et le mal c'est pas bien, et ça m'est réservé à moi, parce que...

:mal:

Citation :
la balance risque à nouveau de se briser

Un équilibre se brise, une balance penche ou se déséquilibre... mais une balance qui se brise ce n'est pas du tout le même phénomène ni le même mouvement : elle est explosée et les plateaux volent dans tout sens. C'est l'anarchie, le désordre, la fin des fins de toutes les fins, quand la balance se brise (ou éventuellement si Chaos tousse, aussi), mais là si tu veux des explications complémentaires demande à EDS, moi la flemme !

Oh et je suppose que je dois être reconnaissante, pas de "paragraphe" four-tout à la fin, c'est un miracle ! On va dire que c'est un mieux, c'est déjà ça u_u

*Soupir et envisage d'abandonner, mais finalement se prend un bon lait de yack, entame un saucisson et repars courageusement dans l'histoire.*

Alors l'histoire... rendu là la flemme de piocher des exemples dans le texte, sauf si ça me choque vraiment, donc allons-y pour un commentaire général !

Déjà, on sens pas DU TOUT l'histoire commencé puis remaniée par la suite à l'intervention de Siriag. D'ailleurs ladite information, le style narratif disgressif à la première personne, les discutaillement avec le premier narrateur, les pseudo-interractions avec le lecteur et tout et tout... on ne sens pas DU TOUT NON PLUS que c'est fait pour rallonger la présentation, bien sûr Rolling Eyes

Hé ben tu sais quoi ? Si, ça se sens et ça se voit que ça a été étiré comme ça pour faire péniblement les trois cents lignes demandées par Dial ! Et honte à toi pour cela ! :panpankuku:

Et puis ensuite, par toutes les Plumes de l'Oiseau... t'as été piochée l'idée de forme inscrite en lui où, chez Aristote ? Mais QUI a pu te donner des idées aussi débiles franchement u_u Tu vas faire quoi la prochaine fois, quand tu sécheras sur le nom de famille tu lui collera "Achéen" en Hittite ? Tssssssss...

Sinon histoire chiante, banale dans ses tentatives d'originalité, prévisible tant sur le fond que sur les éléments "gonflatifs" de la forme, surtout à la fin d'ailleurs.

Citation :
Voilà, je crois que nous avons tout vu. Ah, si…notez qu’il est gaucher…la main senestre, erk !
Bon, et maintenant, mes penas… Siriag ? Siriag ?! Eh !! Merde, il s’est barré !! RADIIINNNNN !!!

Ouai, citation deux en un, je voulais prendre la dernière phrase et me suis aperçue que le truc avant était foireux aussi u_u

Alors la dernière phrase : méga-ultra-de-la-mort prévisible, ficelle si grosse que personne pourrait en rire... bon, sauf Yukai, sous perfusion spéciale, et encore.

Sinon, la phrase d'avant, elle a RIEN A FOUTRE LÀ ! Il aurait fallu la mettre dans le physique, nounouille ! Et puis "la main senestre" pour te la péter, très moyen u_u

*Se prend une boîte de p'tits lu et de chocolat de Mané, se disant que c'est presque fini.*

Alors, remarques finales de la fin :

Encore une fois l'un des champs (le champ "sexe") n'a pas droit à une réponse avec majuscule, et encore une fois c'est le seul... elles sont parties en vacances en couple, elle et celle du "autre" au début ?

Hum... T'es pas un super-boulet, tu es un BOULET D'OOOOOOOOOOOOOOOOR ! Quand est-ce que tu vas l'intégrer ça ? è_é

Oh et enfin... ON NE REMERCIE PAS LA MÉCHANTE MODO, SAGOUIN !!!!!!

(PS : Moi je la lockerais dès que Dial aura posté, mouahahahahahah ! Twisted Evil )

Spoiler:

*S'en va en sautillant et laisse la place à Yuyu-canari-à-la-crème-d'amour ♥*



Yukai a écrit:
Aaaaaaaaaaaah la fleeeeeeeeeeme de faire c'te prez elle est lonoooooongue ! Han je sais ! J'vais passer en mode Dark Yuyu juste pour...*staff technique de Theoc arrive pour donner sa perfusion à Yukai*

Ohayoooo mon chou et rebienvenu mouahaha! Doubleuh compte powaaaaaaaa !! \o/

Bref, commençons ♥

Déjà, classe: "Rêve du Grand Architecte matérialisé." Moi je dis respect. Ben, c'est vrai, quoi qu'en dise Ellia-choute, moi je trouve ça original-de-la-mort-qui-tu-et-qui-rend-joyeux. *o*

Citation :
♦ Aime: La tranquillité, la méditation, la réflexion, la concentration, le glandage, le sommeil, le silence, les coins isolés du Paradis, les sommets des montagnes du monde réel, les bonnes victuailles, les bibliothèques, les loups, la nuit, les forêts sombres.

Han, tu aimes tout ce que je déteste et comme, selon l'article de papa-chou, j'aime tout ce que je déteste, ça veut dire que j'aime tout ce que tu aimes Cool

Citation :
♦ Déteste: Le bruit, l’agitation, les autres êtres -y compris les Imagias-, le temps qui met tellement de…temps…à s’écouler, son boulot d’Imagias Angélique « trop-cool-de-la-mort-qui-tue-qui-rend-joyeux-lol-mdr-xd-ptdr » et tout ce qu’il comporte.

Juste pour cette phrase, moi je te valide, je te plussoies à fond Cool

Ton arme est classe et me fait penser à un personnage de Manga trop classe \o/

Citation :
♦ Autre: actuellement, Imagias en charge de la protection particulière du dieu AŦild.

Han c'est classe ça ! Mais je suis jaloux ! Moi aussi je veux un larbin è_é Qui veut devenir mon amiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ? '-'

Bon, attaquons le plus chiant *-*

J'adore ta forme bestiale ! Owi, elle est trop classe de-la-mort-qui-tue-et-qui-rend-joyeux \o/ Une bête mythyque, ça c'est prestige Cool

Et comme tout perso qui se respecte, tu cache bien ton jeu: prendre la forme d'un vieillard avec une canne. C'est troooooooooooooooop coooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo
ooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooool !!!!!!!!!!

'-'

Ca-ca-ca-caboche ! \o/

Alors dans ta caboche...Owi t'es faignant *o*
T'as vu, nous sommes mal vus par la société, c'est dur o/
En plus, ton perso est différent des autres imagias héhé, j'aime ça *-*
Amoral et asocial, ouais, ça fait classe tout ça Cool

Passons à ta pitite tête n_n

J'aime beaucoup l’ascension de ton perso jusqu'au rang de trône. C'est très bien expliqué et la manière avec laquelle il s'y prend et trop classe *p*

On en apprend plus sur ton personnage et on sait davantage son ressentit n_n

Pour finir, j'aime beaucoup les altercations entre le narrateur et le personnage, toutes pleine d'humour, et je ne vois pas ça comme du remplissage mais plutôt comme quelque chose nécessaire à la prez! En plus, les changements de point de vue nous permettre de voir les choses différemment et nous donne aussi ce que donne ton perso en rp.





Dial Blitzness a écrit:
Bon, à nous :3

Comme d'habitude, je ne dirai pas grand chose, tout a été dit.

Les thèmes musicaux correspondent assez au personnage, ça se fait peu, mention spéciale !

Une longue présentation, c'est une présentation où l'on se perd, donc il aurait fallu une mise en page un peu plus marquante je pense, même si je ne me suis pas beaucoup ennuyé à lire le tout, vu que les vannes fusent x'D

Comme dit Elli, les dernières lignes sont un peu répétitives, on sent bien que tu as essayé de respecter le nombre de lignes, et que t'étais à bout de souffle... mais bon, on te pardonne... x'D

Et comme dit Yukai, j'aime beaucoup ta forme bestiale, et j'ai hâte de faire ton animation un beau jour :3

Palier 6 bien mérité ! Validey ~ ♪

Comme promis je laisse la présentation à disposition

8 décembre 2011 : Le penseur ennuyé, alias Siriag, prend enfin ses fonctions de trône au sérieux.

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MessageSujet: Re: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeSam 10 Déc - 15:27

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MessageSujet: Re: Theoc Area: Siriag Kalatru   Theoc Area: Siriag Kalatru Icon_minitimeLun 26 Déc - 14:56

CARTE D’IDENTITÉ
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Nom: Kalatru
Prénom: Siriag
Surnom: le Penseur Ennuyé
Âge: Environ 9.000 ans

Arme: une canne-épée
Lien vers la présentation: lien de ma crobelfichamouwa !!
Autre: AŦild…démerdes-toi un peu dans ta viiiiieeee !!!

Thème musical:


♦ PALIER N°6 ♦


Note préalable : a écrit:

Les techniques qui s’appliquent aux deux formes sont plus efficaces sous la forme bestiale, puisque c’est la forme naturelle de Siriag.

Merci de préciser le palier juste avant le nom de la technique, sans bouger de place celle-ci, seimplement en éditant devant le code, exemple:
Palier 3 ~ Nom technique : description.
Code:
Palier 3 ~ [u]Nom technique :[/u] description.
Merci.

♦ ART MARTIAL ♦


Epéiste Virtuose (forme humaine) : Siriag dégaine sa canne-épée pour affronter son adversaire dans un duel sans pitié où il enchaîne à toute allure les bottes et les passes.

Vol (forme bestiale) : ben ouais, quatre ailes puissantes et larges, ce n’est pas fait pour juste décorer.

Créature de Bataille (forme bestiale) : Siriag utilise ses capacités physiques pour combattre (crocs, griffes, pattes, ailes, et même la queue).

Créature Déchaînée (forme bestiale) : sorte d’évolution de la Créature de Bataille, il s’agit tout simplement d’une situation où Siriag ne retient plus aucun de ses coups et se lance dans l’affrontement de façon très directe, généralement lorsqu’il affronte un adversaire à sa mesure, doit protéger une divinité, ou se retrouve en difficulté. Les coups portés sont puissants, mais la tactique de combat est très limitée. C’est surtout un corps-à-corps très direct.

Attaque en piqué (forme bestiale) : Siriag, en vol, pique sur sa cible et lui administre un coup de croc ou de griffe.

Bourrasque (forme bestiale) : d’un coup d’aile, Siriag envoie sur une cible une onde de choc faite de vent.

Bourrasque double ou quadruple (forme bestiale) : Siriag combine la puissance de deux ou des quatre ailes à la fois pour augmenter la puissance de la bourrasque. Il est toutefois moins stable et plus imprécis, surtout avec la bourrasque quadruple.
♦ ART MARTIAL OCCULTE ♦


Epée Occultée (forme humaine) : la canne-épée de Siriag se couvre d’une couche de pouvoir Occulte, qui augmente sa puissance de frappe et sa vitesse, tout en affaiblissant la défense ou le corps de l’adversaire.

Croc Occulté (forme bestiale) : morsure puissante, les crocs étant couverts d’une couche de pouvoir Occulte, qui renforce la résistance des crocs tout en affaiblissant la résistance de ce qui est mordu.

Griffe Occultée (forme bestiale) : même technique que le Croc Occulté, mais appliquée aux griffes des pattes.

Bourrasque Occulte (forme bestiale) : même technique que la Bourrasque normale, mais le coup de vent est chargé en énergie Occulte, percutant ainsi gravement l’adversaire et/ou ses éventuelles défenses magiques.

Bourrasque Occulte double ou quadruple (forme bestiale) : combinaison de la bourrasque double ou quadruple avec de l’énergie Occulte, sur le même modèle que la Bourrasque Occulte simple.
♦ ARTS ELEMENTAIRES ♦


Art du Feu :

Foyer (ou « Séchoir ») : l’Imagias fait apparaître un feu ou réchauffe l’air ambiant, permettant d’éviter de geler, de faire fondre de la neige ou de la glace pour boire, ou encore de sécher et même repasser les vêtements lorsqu’ils sortent tout juste de la machine à laver.

Puissance des Flammes : si Siriag a des yeux où dansent des flammes, ce n’est pas vraiment pour rien. Il peut en effet déchaîner une assez large variété d’attaques basées sur le feu, y compris directement sur la cible, par exemple en faisant apparaître les flammes sous elle, à distance. Toutefois, il n’a pas apprit à s’en servir comme d’un outil modelé (fouet, épée…), n’en éprouvant pas le besoin : ce sont donc généralement des attaques assez « primaires » dans leur forme, sans finesse de modelage.

Résistance au Feu : les feux normaux (incendies de forêt, foyers de cheminées…) ne causent aucun dégât au corps de l’Imagias, même matérialisé dans le monde réel ; quant aux attaques adverses usant du feu ou d’une matière qui y est sensible, elles seront amoindries voire tout à fait annulées si elles ne sont pas assez puissantes.

Bouclier de Flammes : produit une partie de sphère ou une sphère complète, faite de flammes, qui s’interpose autant que possible entre Siriag et ce qui le menace.

Barrage de Flammes : produit une suite de colonnes de feu qui finissent par former un barrage haut et large face à un ennemi ; cette technique s’épuise rapidement, et ne peut durer plus de trois minutes consécutives, avec cinq minutes au moins entre chaque utilisation.


Art de la Lumière :

Lampe de Chevet : permet à Siriag d’éclairer directement une petite surface. Très utile pour lire dans le noir.

Arc-en-ciel : parce que les humains sont fascinés par les arcs-en-ciel, Siriag peut en faire apparaître sans même respecter les conditions météorologiques, afin de répandre le bonheur et toute cette sorte de chose dans le monde.

Feu Follet : permet à Siriag de faire apparaître, à distance, une lueur mobile. Elle sert notamment à guider les gens perdus, mais accessoirement ça peut attirer les ennemis ailleurs…

Projecteur dans-ta-face !!! : d'une partie de son corps, généralement une main ou la bouche, Siriag projete une puissante lumière droit sur ses adversaires. L'intensité est telle que s'ils sont en train de le regarder (ouais, ça fonctionne pas s'ils tournent la tête à temps...ça va, ça va !) ils sont au moins temporairement aveuglés; des lésions irréparables peuvent être causées aux celulles de l'oeil si l'adversaire est trop faible ou s'expose trop longtemps au "projecteur".


Art de l’Eau :

Instinct des Courants : Siriag peut aller dans l’eau à volonté ; mais c’est bien mieux et reposant quand on sait où sont les courants marins afin d’en profiter pour se déplacer plus vite et avec moins de fatigue.

Javelot Marin : Siriag use de ses ailes pour se propulser à pleine puissance sous l’eau, et en sortir tel un javelot, crocs en avant, percutant avec force sa cible.

Nuage : Siriag concentre la vapeur d’eau pour fabriquer des nuages, sur lesquels il peut par exemple piquer une sieste.

Brouillard (variante du Nuage) : permet de concentrer la vapeur d’eau pour former un brouillard plus ou moins opaque. Cette technique est particulièrement faible face à une attaque à base de vent.

Pluie (nécessite la présence d’un nuage, naturel ou non) : Siriag déclenche la pluie. C’est bien, pour arroser les cultures. C’est mieux, pour gêner la vision des adversaires et les faire glisser comme des nuls !

Neige (variante de la Pluie) : fait tout simplement tomber des flocons en lieu et place des gouttes d’eau. Ca fait plaisir aux enfants.

Avalanche : avec de la neige, Siriag peut provoquer une avalanche, en affaiblissant par magie certains points de la couche de neige.

Pêche (ou encore "Ils-sont-vraiment-c*ns-ces-poissons !") : projette des poissons en l'air, éventuellement sur la terre ferme ou dans les mains de Siriag, grâce à la création d'un petit et brusque courant dans l'eau. Permet de pêcher les poissons pour nourrir un affamé. Nécessite évidemment qu'il y ait des poissons ET de l'eau (j'veux bien être sympa avec les crevards, mais dans le désert, ça va quand même être difficile !!).


Art Energétique :

Novæ : onde d’énergie lumineuse puissante, infligeant des dégâts à sa cible. Particulièrement puissante contre les techniques à base d’ombres, de ténèbres, de noirceur…qu’elle peut briser.

Supernovæ : variante surpuissante de la Novæ. Son défaut est qu’il faut laisser passer au moins dix minutes entre chaque utilisation.

Hypernovæ : non, ce n’est pas une version encore plus puissante de la Novæ. C’est en fait une attaque portée directement contre le potentiel de puissance magique de la cible, en elle-même : la « réserve » magique à l’intérieur de l’adversaire est malmenée et amoindrie par l’Hypernovæ, et sur une cible très peu puissante elle peut même la supprimer temporairement voire définitivement. Par ailleurs, plus le potentiel magique de la cible est important, plus celle-ci peut ressentir un malaise, voire défaillir, du fait des variations en elle-même. Cette attaque est particulièrement efficace sur les Imagias, constitués à 100% de magie.

Gammæ : onde d’énergie assombrie puissante, qui inflige des dégâts dispersés dans tout le corps de la cible. Elle est particulièrement efficace sur les êtres matériels, car elle produit des effets de type radioactifs qui peuvent être importants : brûlures, cancers sur le long terme, voire même mutations.

Alphæ : alternative au Gammæ, l’Alphæ est une onde d’énergie très lumineuse. Elle a les mêmes effets que le Gammæ, mais avec un impact différent : si elle est plus puissante dans ses effets, elle traverse beaucoup moins bien les protections, qu’elles soient physiques ou magiques. Elle est par ailleurs plus concentrée, et affectera moins facilement tout le corps de la cible, ayant des effets plus localisés.


Art des Métaux :

Extraction Minière : Siriag retire directement du sol, éventuellement en s'aidant pas la gestuelle, les métaux qui s'y trouvent, classés par catégorie. Ne fonctionne évidemment pas s'il sollicite un métal précis et que celui-ci n'est pas présent dans le sol de la région.

Recyclage : l'Imagias sollicite directement du métal déjà extrait. Cela peut être un tas de carcasses de vieilles voitures, un bac de métal en fusion, l'arme d'un adversaire, les pièces de monnaie dans votre portefeuille...

Queue d'Acier d'Assaut (forme bestiale) : la longue queue de Siriag se couvre d'une carapace métallique, recouverte sointe de nombreuses et petites pointes, soit de longues lames sur tout son pourtour. Elle sert dès lors d'arme d'attaque, extrêmement dangereuse car très résistante.


Autres Arts Elémentaires et techniques de mélange d’Arts Elémentaires :

Forge (Feu + Métaux) : l’Imagias peut user de cette technique pour modeler ou réparer des objets métalliques. Il peut ainsi aisément forger une épée pour un combat, ou encore réparer un élément de moteur d’un véhicule pour éviter un accident au chauffeur… Accessoirement, cette technique se dérive pour faire fondre les cadenas, verrous, portes de coffres-forts…etc. Se dérive également pour le faux-monnayage : Siriag peut frapper des métaux pour les faire passer pour du fric. Classe pour avoir plein de penas Cool Ou pour rendre riche une famille de pauvre, aussi.

Marais Salants (dérivé de l'Art de l'Eau) : permet à Siriag de retirer directement du sel de l’eau salée. Très utile pour purifier de l’eau de mer afin de la rendre à peu près buvable, mais aussi pour récupérer du sel frais afin de préparer un festin.

« Apnée » constante (technique permanente; dérivé de l'Art de l'Eau) : l’Imagias n’a absolument pas besoin de respirer, vivant grâce à la magie. Ceci est valable dans l’eau comme dans le vide spatial, dans un nuage de gaz carbonique dégagé par un incendie comme dans un gaz toxique…

Couturier Sans Concurrence (Flore + Métaux) : Siriag réalise ou reprise des vêtements, en extrayant directement les éléments de son environnement, et avec la pensée. Idéal pour lancer une nouvelle ligne de mode, pour briser un couturier aux méthodes douteuses, pour habiller une famille de pauvres ou encore pour avoir rapidement des habits corrects après un combat.

Art Occulte Pur :

Bouclier Occulte : déploie un bouclier noir, de magie pure. Permet de se protéger ou de protéger un allié d’une attaque occulte.

Rayon Occulte : de sa bouche (ou de sa « gueule » sous forme bestiale), Siriag tire un rayon de magie pure sur sa cible ; occasionne des destructions importantes sur l’environnement et des blessures variables selon la puissance magique de la cible ; particulièrement puissant contre les autres Imagias.

Coup Occulte : pouvant se rapprocher des techniques d’art Martial Occulte, cette attaque est pourtant différente : la partie du corps de Siriag qui se voit appliquer cette technique devient impalpable, même aux Imagias, et inflige un coup violent à la cible. Néanmoins, la technique affaiblit légèrement la résistance de la partie du corps utilisée, pendant quelques secondes à quelques minutes.

Prison du Temps : sans doute l’une des techniques les plus puissantes de Siriag, sinon LA plus puissante. En tous les cas, l’une des plus impressionnantes. L’adversaire visé est entouré d’une « bulle » de Pure Energie Occulte, qui le retient prisonnier à jamais ou jusqu’à ce que Siriag le libère. Cette technique peut-être comparé à une Pokéball de Pokémon : l’adversaire suffisamment puissant pourra s’en défaire en l’attaquant directement, voire grâce à sa pure volonté ; aussi il convient préalablement d’affaiblir l’ennemi avant que d’utiliser cette technique. Ne fonctionne que contre les Imagias et les Dieux.

♦ ART DE LA FAUNE ♦


Eclaireur Volant : permet de contrôler une créature volante à proximité et de ressentir tout ce qu’il ressent, afin d’effectuer des repérages dans les environs. Plus la créature et de taille importe et/ou éloignée, plus l’Imagias perd le contrôle ou doit sacrifier son propre contrôle : ainsi, avec un colibri à cinq mètres de lui, il peut marcher, parler et garder tous ses sens tout en contrôlant l’oiseau, en se dédoublant presque ; mais avec un dragon volant à vingt kilomètres, il ne tardera pas à devoir lâcher son emprise ou à abandonner temporairement la conscience de son corps, le laissant inerte et amorphe, sans défenses.

Rongeur Espion : même principe que l'Eclaireur Volant, mais avec un rongeur au sol.

Appel de la Meute : permet à Siriag d’invoquer l’aide de la ou les meutes de loups les plus proches, du fait de sa proximité avec les canidés. Instinctif, l’Appel de la Meute, qui se présente sous la forme d’un hurlement mental, est effectif même sous la forme humaine. Les loups garderont leur contrôle propre, mais seront poussés à porter assistance à l’Imagias.

Baleine-taxi : Siriag attire une baleine et l'utilise comme transport sous-marin ou en surface. Il peut aussi rentrer dans son estomac (façon Pinocchio et Gépeto, oui oui !) et s'y installer: c'est assez peinard, sauf quand elle bouffe un repas. Evidemment, il peut ressortir par la bouche (un peu de dignité, voyons).

Dragon-taxi : même principe que la Baleine-taxi, mais dans les airs. Et évidemment, Siriag ne rentre pas dans le dragon (il est trop gros généralement...pas le dragon, Siriag, oui oui !).

♦ ART DE SOUTIEN ♦


Cacheur d’Aura : l’aura dorée de l’Imagias n’est plus visible des êtres (hormis Imagias et Divinités) qui sont en sa présence. Cette technique est tout à fait inutile sous la forme bestiale, mais sous forme humaine elle permet à Siriag de se rendre, s’il le veut, dans le monde réel sans être démasqué des humains et des teremundos.

Vol Occulte (forme bestiale) : grâce à la puissance des Arts Occultes, la vitesse de vol est décuplée. La précision des divers mouvements (virage, arrêt, attaque…) en est cependant gravement atteinte.

Soin constant (technique permanente) : le corps de Siriag se régénère de lui-même, mais assez lentement. Par extension, cette technique lui permet de se reposer plus rapidement, de récupérer plus vite son énergie.

Soin majeur : technique ne pouvant s’utiliser que sur autrui, ce soin peut guérir rapidement une blessure grave, une maladie…etc sous réserve qu’elle ne soit pas mortelle. Une combinaison de soins majeurs peut éventuellement résorber une blessure ou une maladie mortelle, mais l’être sur lequel les soins sont appliqués doit avoir une grande force de caractère.

Matérialisation/dématérialisation : permet à Siriag d’avoir un corps physique réel ou immatériel, à volonté, dans n’importe lequel des mondes. Cela lui permet notamment de combattre physiquement, bien qu’un Imagias soit composé à 100% de magie, donc par essence immatériel hors du monde des Imagias. La capacité s’étend aux objets en contact avec le Penseur Ennuyé.

Temujin : permet à Siriag de renforcer puissamment la cible de ce pouvoir, en augmentant sa résistance, son endurance, sa vitesse et sa force, pendant quelques instants.

Genghis Khan : variante du Temujin, cette technique est bien plus puissante et efficace, mais elle nécessite que Siriag puise dans ses propres réserves, l’épuisant de plus en plus tant que la technique est active.
♦ ART EXTRA-SENSORIEL ♦


Divinité en danger (technique permanente) : Siriag est avertit par une sorte d’alarme mentale qu’un danger guette une divinité non-maléfique précise. Ce lien est particulièrement fort avec la divinité dont il a la charge.

Lévitation : permet de voler même sans user des ailes de la forme bestiale.

Repas gargantuesque : Siriag peut engloutir, même à toute allure, un repas qui représente plusieurs fois le poids et la taille de sa forme bestiale, sans aucun problème d’estomac.

DAR (Doigts Agiles et Rapides) : permet à Siriag d’user très habillement de ses longs doigts, sous chacune de ses deux formes, pour faire des choses diverses et variées…notamment chercher un livre dans une bibliothèque…l’ouvrir…le feuilleter…le remettre dans les rayons…en chercher un autre…recommencer… Bon, d’accord, ça marche aussi pour aller chercher des objets tombés dans des endroits difficiles d’accès, et ça lui fait écrire de très belle manière, mais il s’en fout, il perd rien et n’écrit jamais à personne !

Chipeur de livre : Variante du DAR, qui permet à Siriag de voler sans se faire repérer n’importe quel livre écrit ou livre électronique. Pour l’en empêcher, si vous le repérez, criez : « Chipeur, arrêtes de chiper ! »…Nan, j’déconne : ça marche pas, il faut dire « Siriag » ! (vous avez essayé ? bande de nuls, j’vous ai eu deux fois !)

Réflexion Philosophique : Siriag augmente sa concentration mentale, afin de réfléchir plus correctement encore. Ou bien il dit qu’il a activée cette technique et pique un roupillon. Si la technique est qualifiée de « philosophique », elle fonctionne pourtant sur à peu près tous les sujets de réflexion.

Stratège de Guerre Angélique : dérivé de la Réfléxion Philosophique, cette technique augmente la concentration mentale d'un point de vue "militaire", soit directement en combat soit lors des éventuels conseils des Imagias Saints. Ne permet pas de faire de roupillons, malheureusement.
♦ ART DE L’IMAGIAS ANGELIQUE ♦


Aktiva or (art élémentaire) : envoie un rayon de lumière. Cette lumière n'est pas comptée comme un élément normal, et donc les protections contre la lumière ne marchent pas. Art élémentaire.

Portail de purific niveau II (art de l’espace-temps) : permet d'aller du paradis au monde de Gaea, et dans ce dernier, du monde spectral où ils sont invisibles, au monde réel, mais ça leur coûte de l'énergie.

Vision spectrale (art de l’espace-temps) : détecte et peut interagir avec la forme divine des divinités, et l'esprit des teremundos transcendants.

Modelage (art de la faune) : les imagias peuvent modeler des membres de leur corps en autre chose: Bras en épée, ou en ailes... Jambes en queue de poisson... La transformation ne coûte pas d'énergie, et doit rester de masse équivalente au membre transformé.

Symbole divin (art de la faune) : possibilité de se réincarner partiellement ou complètement en animal ou créature bizarre, à la place d'être un humanoïde. Vous gagnerez en style, en taille, en prestance avec les grades suivants.

Frappe-dimensions (art de l’espace-temps) : un coup qui atteint la dimension spectrale comme réelle simultanément, peu importe la zone depuis laquelle il est lancé.

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