La Tanière de Lupus
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 Lost World: Julius Caesar

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Lupus
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MessageSujet: Lost World: Julius Caesar   Lost World: Julius Caesar Icon_minitimeDim 8 Jan - 21:31

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MessageSujet: Re: Lost World: Julius Caesar   Lost World: Julius Caesar Icon_minitimeLun 9 Jan - 17:11













CAESAR
Julius


ID'
Age : 26 ans.
Métier : marchand…
Passions : l’argent, le Droit, les vins de grande qualité…Ellianne Varemar…
Objectif(s) : acquérir davantage de pouvoir et de richesses.
Famille : aucune.
nothing is black nor white
Très intelligent - Doué en affaires - Grand lecteur - N’aime pas le luxe - Rapide et décidé Amoral - Voleur et radin - Pourri par ses actes - Possessif






HISTOIRE

Le bébé qui deviendra Julius Caesar a vu le jour il y un peu moins de trente ans, dans un domaine sur les falaises côtières proches du village d’Adys. Sa mère, noble, s’y était retirée depuis plusieurs mois déjà, pour donner naissance à cet enfant non désiré, dans le plus grand secret. Enfant non désiré…car Julius est le fils d’une noble de haute naissance, d’Estaryon, et d’un petit marchand de Millawanda ; et que cette mère refuse de révéler cette liaison avec un non-noble. Elle l’abandonnera donc à son amant, le marchand, avant de retourner auprès de sa famille à Estaryon.
Le père emmènera l’enfant tout juste né à Millawanda, se détournant de cette femme si peu… « humaine ». L’enfant sera élevé en grande partie par une jeune femme prise comme nourrice, qui finira par épouser le marchand, prenant ainsi la place de mère qu’avait laissée libre cette noble si pressée à le laisser…

Somme toute, la jeunesse du futur Julius est assez douce et aisée. Millawanda est en territoire impérial, et d’intérêt stratégique secondaire car ni politique ni militaire -seulement économique. Son père fait des affaires fructueuses mais évite de développer son commerce, préférant rester assez en retrait et humble, pour ne pas trop se faire remarquer. Ce comportement enseigne à son fils à ne pas se mettre en avant, à rester dans l’ombre, leçon qu’il retiendra à jamais. Le reste de l’éducation du jeune garçon, qui grandit vite, est surtout dirigée afin qu’il aide son père puis reprenne, à terme, l’entreprise commerciale ; mais outre l’apprentissage « maison », lorsqu’il est à la boutique principale de son paternel ou avec lui dans les diverses échoppes dépendantes, il voit s’ajouter à un cursus scolaire normal des cours de renforcement et de spécialisation en Droit, Economie, Sociologie…généralement avec des professeurs du soir. Le jeune garçon fait tôt preuve, grâce à cette activité et cette pratique intenses, d’une intelligence mercantile très développée, d’autant qu’il est très attaché à son père et désireux de l’imiter : par rejet de sa mère qui l’a abandonnée, il centre en effet sa vie surtout sur son père, plus marginalement sur sa mère adoptive, et donc s’applique non seulement à satisfaire les désirs de son père, mais aussi à être toujours meilleur et travailleur.
Néanmoins, cette douce vie va être perturbée, vous vous en doutiez. Non par la guerre, comme on l’aurait pu croire, mais parce que le père décida de faire ce pas qu’il n’avait osé accomplir jusque-là : développer davantage son entreprise. Voulant étendre son panel d’activités, il va avoir affaire à un concurrent… « peu regardant sur les méthodes » : plusieurs boutiques brûlées seront le dernier avertissement d’une longue suite d’intimidation. Finalement, alors que Julius n’a que dix-sept ans, son père et sa mère adoptive sont abattus sur le pas de la maison familiale par deux brigands engagés pour l’occasion.
Le jeune homme prend alors ce nouveau nom : Julius Caesar, référence à un héros d’un lointain passé, issu de la civilisation qui inventa le langage qu’utilisent beaucoup les juristes et adeptes du Droit. Abandonnant son ancienne identité, car décidant brusquement de couper tout lien avec celui-ci et de prendre ses précautions vis-à-vis des assassins de ses parents, il récupère la majeure partie de la fortune du marchand, à savoir des barres d’argent dissimulées dans un vignoble hors de la ville. Enfin, il s’exile de l’empire, quittant Millawanda pour d’autres territoires.
Pour quoi cet exil ? Pour une raison très simple : l’empire imposait un cadre légale aux marchands et commerçants. Sortit de lui, seul demeurerait la règle du plus fort…ou du plus malin. Et Julius, avec son instruction poussée et ses connaissances pratiques, savaient qu’il allait pouvoir s’en tirer à bon compte : son père n’avait pas réussit à étendre ses activités dans l’Empire ? Qu’à cela ne tienne : hors de l’Etat des Nobles, tout allait être loisible au jeune homme…

Le chemin de Julius s’arrête à Andréomanthe. Déjà, sur la route, il use de cette discrétion et de cette mise en retrait qui vont bientôt s’attacher à toute sa personne et à chacun de ses pas : il se fait passer (bien que ce soit vrai sur le fond) pour un fils de marchand, lequel emmène une charrette de troncs, marchandise fort peu intéressante, à Andréomanthe…évidemment, sous les rondins, la fortune.
Dans la cité marchande, le jeune homme s’attelle d’abord à acheter, directement, des échoppes qui marchent, bien placées et contrôlant un même commerce : celui de l’hôtellerie. Le but est clair : contrôler rapidement une source de revenus conséquente. Il prend néanmoins soin de masquer juridiquement l’identité du véritable patron du petit groupe d’intérêts ainsi formé, voulant éviter de se mettre en avant dans l’économie locale. Parallèlement, et dans l’ombre, il va recruter certains habitués de quelques-uns des tripots acquis, pour monter un premier groupe d’hommes de main : ceux-ci voient leurs missions assez simples : jouer les brigands en réalisant des coups de mains sur certains convois bien ciblés de marchands de passage. Avec les ressources acquises, Julius développe de nouveaux commerces, spécialisés dans de nouvelles branches économiques, et justifie aisément l’entrée sur le marché de biens en réalité…volés.

La fortune ramenée de Millawanda a été totalement investie, et cette énorme prise de risque du jeune homme lui permet de, véritablement, récolter une fortune : ses revenus, tant légaux qu’illégaux explosent ; il doit créer de nouvelles sociétés de façades pour ne pas laisser deviner l’étendue de son réseau marchand, généralement en cloisonnant selon l’activité économique ; des succursales diverses, légales comme illégales, sont ouvertes dans d’autres villes… D’autant que même ses activités souterraines commencent à varier : si au départ il ne disposait que de brigands de grand chemin, il regroupe également des bandes de voleurs pour la cité d’Andréomanthe elle-même, volant l’argent de ses rivaux et créant davantage de demande de produits ; quelques hommes de mains ne tardent pas à collecter des « impôts » auprès de certains petits marchands, qui ne peuvent se défendre ni être défendus, et surtout auprès des voyageurs de passage ; des bordels, des tavernes de jeu et des arènes pour des combats mortels où s’engagent des sommes folles en paris s’ouvrent, tant dans Andréomanthe que dans sa campagne…et surtout, le commerce d’esclaves, auprès des riches et des Nobles ! En quelques années, Julius Caesar, masqué, concentre entre ses mains une immense fortune.
Mais cela ne convient pas encore au jeune fortuné. Il a l’argent, il a les hommes, il a les biens. Mais il lui manque encore deux choses.
D’abord, le pouvoir. Le pouvoir politique lui apparaît comme le moyen de contrôler au mieux la situation et les gens, et les plier à sa volonté. Et l’autorité d’Andréomanthe, c’est évidemment le Conseil Marchand. Il va donc révéler son identité pour une partie de ses commerces légaux, et décrocher, à vingt-trois ans seulement, une place au Conseil Marchand. Il s’y montre assez taiseux et en retrait, ne lâchant que rarement des remarques intelligentes et assez concises. En réalité, il va commencer à faire entrer, peu à peu, des connaissances, ou à faire directement pression sur les membres, peu importe la manière. Il joue dès lors comme un chef d’orchestre du Conseil, mais depuis les ombres des salles, en catimini, refusant de montrer son rôle ; il pousse même le vice du brouillage des pistes jusqu’à faire prendre au Conseil, parfois, des mesures qui vont à l’encontre de ses intérêts connus -bien que rarement à l’encontre de ses intérêts réels ou secrets.
Ensuite, la force. La force brute, le pouvoir militaire. Son père n’avait pas disposé de ce pouvoir pour protéger ses commerces et sa vie ; Julius, lui, décide de ne pas se contenter des autorités légales qui ne lui répondent pas au doigt et à l’œil, et les quelques bandits qu’il a engagés ne conviennent pas pour des tâches officielles. Dans le même temps, il ne peut réellement créer une armée, refusant, encore une fois, d’agir aux vues et sus de tous. Il va donc créer, encore une fois, des sociétés-écrans ; mais cette fois, ce sont des groupes de mercenaires qui sont officiellement créés : services d’escorte de convois, de protection de lieux et personnes, milice privée mise au service d’Andréomanthe… Ici aussi, Julius va brouiller les pistes : ainsi, officiellement et même aux yeux de ces hommes, les quelques mercenaires chargés de la défense de ses commerces « officiels » sont recrutés par contrat avec les sociétés de mercenariat, comme si les deux branches n’étaient vraiment pas sous l’autorité d’une même personne. De toute façon, il faut payer ces mercenaires pour qu’ils restent, et donc faire entrer légalement de l’argent dans leurs sociétés : par ce type de manœuvre, Julius gagne sur tous les tableaux, et surtout celui de la dissimulation. Enfin, ces mercenaires sont prêts à se mettre à la disposition de leur employeur réel, au moindre ordre soudain…
Ajoutons d’ailleurs qu’il a secrètement commencé à ouvrir des fabriques d’armes à feu, tant pour fournir des clients au prix fort que pour armer ses hommes…

Enfin, Julius assure ses arrières vis-à-vis de la guerre qui déchire le monde. Vu l’extension de son réseau commerçant, les innombrables domaines d’activité qu’il touche, mais aussi vu les relations peu fréquentables qu’il s’est faites dans tous les milieux, il dispose d’une véritable réseau d’informations personnel : des connaissances qui laissent filtrer des informations sans le savoir, sans en avoir conscience…et aussi son réseau d’espions dans plusieurs villes, originellement mis en place pour connaître les intentions et actions des concurrents économiques. L’Empire et les Rebelles sont deux groupes d’importance, avec de nombreux serviteurs : empêcher la moindre information de filtrer est en pratique impossible. Et c’est encore plus vrai avec les rumeurs tangibles : lorsqu’un homme qui déteste l’Empire achète pour une fortune de denrées périssables, ce n’est sûrement pas pour sa consommation personnelle, mais plus probablement pour nourrir un groupe de rebelles… Julius se plaît donc à centraliser entre ses mains les nombreux éléments et indices récoltés ici et là, pour en tirer les conséquences logiques, lorsqu’il n’obtient pas directement l’information véridique. Et comme après tout, la connaissance n’est qu’une marchandise comme une autre…il n’a pas tardé à la monnayer, tant à la Rébellion qu’à l’Empire. Misant sur tous les chevaux, il est certain de rafler la bonne mise, à terme…


CARACTERE

Psychologiquement et moralement, Julius est avant tout une façade. En surface et publiquement, il apparaît comme un homme discret, neutre, très effacé, seulement besogneux et attaché à ses gains. En cachette, il se montre froid, impitoyable, voire même cruel dans ses pensées et ses agissements. En réalité, de son lui profond, on ne peut retenir de lui que quelques traits bien particuliers. C’est en fait une sorte de caméléon humain.
Sa conception mercantile du monde a fait de lui, depuis longtemps, un être amoral : pour lui, objectivement, rien n’est bon ni mauvais, et seule la façade qui plaît au client doit être affichée lorsqu’on lui fait face. En matière de commerce, peu importe les moyens, seule compte la fin ; et la fin, pour Julius, c’est simplement d’amasser, encore et encore, plus de richesse et de pouvoir entre ses mains. Il n’y a pas lieu de s’interroger sur la manière dont ces richesses et ce pouvoir sont acquis, seule leur existence, leur présence, compte.
C’est aussi -et peut-être « surtout »- un homme très intelligent. Son éducation, poussée dans le pur sens utilitariste depuis sa plus jeune enfance, a largement développé ses capacités mentales : réfléchit, retors, machiavélique, il pense chaque aspect de ce qu’il fait, afin de retirer de chacune de ses actions le plus de choses possibles, le plus aisément possible, le plus vite possible, et surtout de la façon la plus sécurisée qu’il soit.
Car Julius n’a sans doute rien tant à l’esprit quand il agit que la sécurité. Sécurité de lui et de ses avantages, évidemment. C’est là, sans doute, le seul trait de caractère qui résulte de l’écueil de sa vie : son père fut tué faute de s’être suffisamment bien protégé ; alors Julius, lui, ne tolère aucune menace sur lui et ses possessions matérielles ou immatérielles. Il est en effet très possessif, et même « radin ». Chaque chose doit être marchandée, chaque avantage possible arraché, pour mieux garantir la suite de ses actions.


PHYSIQUE

Julius est un homme de vingt-six ans, d’assez haute taille, au corps fin et musclé. Des cheveux noirs en bataille, aux longues mèches, lui tombent sur des yeux marrons, assez en amande. Ils entourent un nez fin, court, lequel surmonte la bouche assez large, mais jamais souriante, dont les dents sont parfaitement blanches. La mâchoire fine se termine sur un menton assez pointu ; les oreilles sont masquées par les cheveux.

Depuis son installation à Andréomanthe, il revêt le plus souvent une sorte d’uniforme militaire bleu. Son père avait dessiné ce vêtement en voulant créer une ligne de vêtements pour lorsqu’il diversifierait ses activités ; Julius l’a reprit, non comme produit de vente, mais comme uniforme règlementaire de son personnel.
L’uniforme est composé de bottes noires en cuir, d’un pantalon bleu large, d’une sur-jupe du même bleu avec des bandes blanches sur le pourtour, et d’une veste, toujours du même bleu et aux mêmes pourtours blancs, avec un haut et large col et une étrange « poche » sur le devant. Les employés sont censés porter une chemise blanche ou un tee-shirt noir au-dessous, mais peu le font. Quelques autres éléments, noirs pour la plupart, peuvent être ajoutés, notamment de longs manteaux en cas de pluie.
Pour sa part, Julius porte la chemise blanche au-dessous de la veste, et très souvent des gants blancs, assez cérémoniaux, aux mains. Il a également tendance à porter la veste ouverte et simplement passée par-dessus les épaules.


POUVOIRS

Julius ne fait guère appel à ses pouvoirs, et surtout pas en public, d'autant que ce n'est pas bon d'en parler, car ils inspirent la méfiance. En effet, ses pouvoir sont basés sur la Peur.
Celui-ci influe directement sur les personnes qui lui font face ou l’entoure ; il s’en sert généralement à petites doses pour parvenir à ses fins de marchands. Car en matière commerciale, la peur est un facteur influent chez le consommateur : il suffit généralement à Julius de pousser de façon infime la peur que le client à de voir la marchandise être épuisée pour qu’il achète aussitôt ; ou qu’il la diminue lorsqu’il s’agit d’une crainte que le produit visé soit de mauvaise qualité, voire une contrefaçon sans valeur -ce qu’il a souvent dans ses boutiques. Évidemment, ce n’est qu’à petite échelle qu’il l’utilise dans ces cas précis. Il peut déployer ce pouvoir de façon bien plus puissante, jusqu’à la terreur : c’est notamment le cas pour terrifier un adversaire au point que sa panique le clouera sur place, l’immobilisant sans fondement tangible -et sans difficulté pour Julius…



HORS-JEU
Nom/Pseudo: Juju / Pupuce.
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Code du règlement: J'ai pas trouvéééééé Loup30 Vous êtes sûrs de l'avoir mis ?
Comment vous nous avez trouvé? Tata a bien voulu me donner l’adresse !!!! Loup03 Loup03 Loup03
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Quelle est la couleur de vos chaussettes? Blanches avec une rayure noire et une rayure bleue parallèles au niveau de la cheville




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